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    Les pieds fleuris des arbres 

           
      Les Arbres    Forum 

     

     

       
      Sujet du message: Les pieds fleuris des arbres
       
      Posté le: Mer 27 Aoû - 13:05 (2008)      
     Dans plusieurs arrondissements de Montréal, un concours annuel vise à récompenser les meilleurs jardiniers de chaque jardin communautaire. Tous sont évalués plusieurs fois pendant la saison selon des critères qui tiennent compte tout autant de leur savoir-faire que de leur engagement communautaire. À la fin de la saison, le cumul des points détermine qui, parmi les jardiniers retenus, sera honoré. Les concours horticoles récompensent aussi les jardiniers talentueux de l'aménagement paysager pour diverses catégories, comme celle des «carrés d'arbre fleuris».

     J'ai le plaisir d'animer divers galas de remise de prix, comme les «Mérites horticoles»; même si je suis un amoureux inconditionnel des jardins potagers et des jardins communautaires, je garde les yeux grands ouverts et suis admiratif des jardiniers urbains qui réussissent à faire de petits miracles d'ingéniosité et de créativité sur quelques pieds carrés.

    Une pratique nuisible consiste à désherber autour des troncs d'arbre ou de sarcler afin de maintenir la terre à nu (sans paillis). Les dites «mauvaises herbes» n'ont pas qu'un côté négatif; leur présence évite ou diminue l'érosion du sol et, grâce à leur couvert, garde une humidité si importante à la vie biologique du sol.

    En bref, c'est un paillis vivant! L'arbre, souvent planté seul au beau milieu d'un carré bordé de béton ou d'asphalte, est alors à l'écart des massifs d'arbustes et de vivaces, lui qui pourtant, dans son «enfance», vivait heureux avec ses congénères de la pépinière...

    L'arbre aime la compagnie des arbustes, des vivaces, des annuelles quand cela est possible. Il est donc souhaitable d'intégrer au pied des arbres des écrins de végétation.

    Pour ce faire, quatre petites planches peuvent parfois aider à ajouter de la bonne terre, mélangée à du compost, au pied de l'arbre, sans toutefois enterrer le tronc. Puis on y installe quelques plantes diverses et un paillis afin de conserver l'humidité du sol. L'arrosage sur voie urbaine, surtout si le jardinier réside au troisième étage, demande rigueur et esprit sportif!

    L'observation étant la qualité première du jardinier, s'enquérir auprès de ceux qui réussissent le mieux et s'en inspirer permettra de réaliser avec succès un carré d'arbre superbe et en santé. Tenez, voici quelques plantes vivaces rencontrées au hasard des artères de la ville.

    Une plante rampante facile à cultiver, le Lysimachia, des géraniums «Ballerina» (vivaces), du lierre terrestre (considéré comme une mauvaise herbe), de la Vinca minor, de l'aspérule, de l'ajuga, du consoude nain, du Nepeta faassenii «Six Hills Giant», l'achillée (Achillea millefolium «Paprika») et de l'origan grec, ces trois derniers imbattables en sol sec, une merveille: le myosotis du Caucase (Brunnera macrophylla), qui aime l'humidité, la populaire hémérocalle «Stella d'Oro», de l'herbe au goutteux (Ægopodium) pour ses qualités d'envahissement et tant d'autres.

    Les annuelles mélangées sont à l'honneur, parfois associées à des vivaces et à des annuelles grimpantes: les cosmos «Sonata», peut être les annuelles les plus populaires, les cléomes, les coleus, souvent magnifiques, comme ceux de la série «Kong», des soleils, lorsque le vrai est présent et qu'il éclaire le bon côté de la rue!, des Rudbeckia hirta «Prairie Sun», très florifères en plein soleil, et bien sûr beaucoup de variétés d'impatiens, de pensées et de bégonias, l'ombre oblige...

    Enfin, on voit de plus en plus de plantes grimpantes installées sur de frêles tuteurs, comme des gloires du matin, des haricots d'Espagne, des doliques. J'ai même vu des clématites...

    Bref, il n'y a rien de trop beau pour fleurir les arbres, à qui on doit tant. Mesdames, messieurs, jardiniers de coeur, vous avez toute mon admiration. Croyez-moi, participer activement à l'embellissement de votre ville, c'est déjà faire partie des gagnants.

    Jean-Claude Vigor 24 août 2008

     Il n'est jamais commode de passer la tondeuse au pied d'un arbre.
    On peut créer un massif.
    On surélève le massif de 20 à 40 cm en créant un petit muret.
    On plante des espèces adaptées à l'ombre.
    Cela maintient l'humidité. 
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     Les champipi! Les champipi! Les champignons!
         
      Champignons   Forum      
       
       
      Posté le: Mer 27 Aoû - 06:33 (2008)         
     

       Nom usuel : agaric champêtre                                       Les champipi! Les champipi! Les champignons!  


       


     Synonymes : rosé des prés, pratelle
    Chapeau : de 5 à 12 cm, d'abord globuleux puis hémisphérique devenant convexe et s'étalant, à marge excédente, de couleur blanc velouté ou jaunissant légèrement, parfois partiellement ou totalement couvert d'écailles blanches devenant fauve clair
    Lames : libres, serrées et inégales, d'abord de couleur rose pâle puis rose carné devenant ensuite brun puis brun noirâtre
    Anneau : membraneux, petit, fugace, de couleur blanche
    Pied : assez court (jusqu'à 7 cm), cylindrique et blanc, s'amincissant vers le bas
    Exhalaison : fongique à fruité, typique du champignon : c'est sans doute LA référence - ce parfum peut toutefois être dénaturé si le biotope comporte des plantations (haies, notamment)
    Période de cueillette : dès la fin de l'été mais surtout pendant l'automne
    Biotopes : essentiellement dans les pâtures et plus particulièrement celles où paissent les chevaux, en moins grand nombre dans les prés à bovidés ou moutons
    Confusions : possible avec agaric jaunissant, agaric bulbeux, agaric des jachères, agaric des bois, lépiote pudique, tous comestibles (avis réservé pour l'agaric jaunissant que certains ne supportent pas) mais aussi amanite phalloïde et autres amanites blanches, espèces toxiques ou mortelles
    Famille : agaricacées
    Nom scientifique : agaricus campester

     

    Commentaires
    La chair est blanche, rosissant à la cassure. C'est le champignon des prés par excellence. On trouve l'agaric champêtre après la rosée, à la fin du printemps mais surtout d'août à octobre, le plus souvent en groupes disséminés sur quelques mètres carrés, appréciant l'abri des touffes d'herbe humide. Il est surtout appréciable à l'état juvénile et aussi longtemps qu'il arbore des lamelles roses. Etymologiquement, il est souvent confondu avec le champignon de Paris (agaricus bisporus) mais ce dernier, beaucoup plus rare à l'état sauvage, pousse essentiellement sur le compost, les jardins fumés et les litières de fumier reposé ou de cyprès.




    Pour la dégustation, il convient de ne choisir que les exemplaires dont les lames ne brunissent pas encore :

     

     

      

    C'est la pleine saison pour ce champignon
    Autrefois, le champignon le plus fréquent.
    Dans notre région.
    Beaucoup de pâtures ayant disparues.
    Nous en faisions souvent des conserves.
    50 à 60 bocaux par an.
    Un champignon difficile à confondre.

     


    http://mycorance.free.fr/valchamp/champi30.htm

     
     Photo Popoblog
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        Des aubergines        
      Serre   Forum       
      Sujet du message: Dans ma serre.
       
      Posté le: Mer 12 aout - 16:29 (2008)    

     C'est au tour des aubergines de commencer à produire, mon seul plan porte une dizaine de fruits, le premier est déjà dans une ratatouille entièrement maison. Cultivez vous des aubergines? J'ai toujours un peu de mal avec ce légume, beaucoup de fleurs en début de saison tombent probablement non fécondées. Quand à la taille, je ne sais toujours pas ce qu'il faut faire, j'ai essayé de suivre ce qui est dit dans les livres, avec un résultat nul. Pour finir, je n'ai plus fait de taille du tout.

     
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    Le Poireau

           
      Légumes    Forum       
     
       
     Ananasgold Par White Tendance le 5 Août 2008 à 11:18     

      Jardinier Du Roi

    Un peu d'histoire sur le poireau

    Le poireau est une plante potagère bisannuelle issue d'une variété d'ail originaire du Proche-Orient. Déjà cultivé par les Egyptiens, on dit que le pharaon Kheops offrait des bottes de poireaux pour récompenser ses meilleurs guerriers.
    Les Romains en consommaient en grande quantité. Néron, qui en mangeait pour s'éclaircir la voix, fut surnommé le "porrographe". Ces mêmes Romains l'introduisirent en Grande-Bretagne où il constitue le "légume national" gallois. Ce lien remonte à Saint David (VIème siècle), saint patron du Pays de Galles, qui aurait ordonné à des soldats combattant les Saxons de le porter afin de se reconnaître entre eux.
    En France, durant des siècles, il forma la base des soupes sous le nom de "porreau" ou "pourreau" qui devint le poireau au début du XIXème siècle.
    Légume d'hiver par excellence, le poireau résiste très bien au froid. Pourtant, grâce à différentes variétés, il est cultivé toute l'année.
    En France, le poireau est surtout produit dans les régions Pays-de-la-Loire, Centre, Rhône-Alpes et Basse-Normandie.
    De novembre à avril on trouve surtout des variétés à gros fût blanc, de 10 à 20 cm de long, à feuillage vert foncé, mais aussi des poireaux de Créances, au goût de noisette très délicat.
    De mai à juillet apparaissent les poireaux nouveaux, surtout de Nantes, mesurant à peine 1 cm de diamètre, délicieux et fondants, ainsi que les poireaux "baguettes, moins tendres, avec un petit oignon à la racine.
    A partir de la mi-juillet reviennent les variétés d'hiver qui seront repiquées, elles ont davantage de goût, mais sont moins fondantes.


    Bienfaits
    L'association d'un faible apport calorique (27 kcal/100 g) et d'une forte teneur en vitamine et minéraux, donne au poireau une bonne densité nutritionnelle. Il contribue ainsi à la couverture de nos besoins en certains micro-éléments sans risque d'excès énergétique.aleurs nutritionnelles

    pour 100 g  
    Protides 2 g
    Glucides 4 g
    Lipides 0,3 g
    Calories 27 kcal

    Le poireau est riche en pro-vitamine A et en vitamines C et E qui ont un effet protecteur anti-oxydant sur nos cellules. Le poireau a donc un rôle préventif dans l'apparition de certains cancers.
    La présence de glucides spécifiques, les fructosanes, et un rapport potassium/sodium élevé, lui donne des propriétés diurétiques indéniables. Pris sous forme de bouillon notamment, il facilite l'élimination rénale.Enfin, grâce à sa teneur élevée enfibres (3,5/100 g), il régularise le fonctionnement intestinal.
     
    Dégustation
    Ces longues feuilles vertes engainantes forment à leur base un cylindre dont la partie enterrée, blanche et tendre, est la plus appréciée : c'est ce qu'on appelle le blanc de poireau.
    Choisissez le poireau bien frais, lisse, de couleur soutenue, avec le feuillage dressé. La grosseur du poireau n'est pas un indicateur de sa tendresse.

     Toutes les recettes au poireau  

    Conservez-le 5 jours dans le bac à légumes du réfrigérateur. Cuit, il peut se conserver 2 jours de plus dans un récipient fermé. Le poireau peut également se mettre au congélateur. Dans ce cas, il faut le blanchir quelques minutes à l'eau bouillante, le passer sous l'eau froide, l'égoutter, puis le mettre dans un sachet. 
    Préparez le poireau en éliminant les racines et la base, en coupant les blancs jusqu'au départ des feuilles et en le lavant sous l'eau froide en écartant les feuilles. Si vous le coupez en rondelles, mettez celles-ci dans une passoire et passez-les sous l'eau froide.
    Cuisez le poireau à la vapeur une quinzaine de minutes ou blanchissez-le à l'eau bouillante salée. Il se déguste ensuite froid à la vinaigrette ou à la mayonnaise ; chaud en accompagnement de viande ou de poisson ; ou en gratin, avec une sauce blanche ou une béchamel.
    Le poireau peut aussi être braisé (il s'agit de le faire "fondre" à four doux) avec du beurre ou un fond de bouillon. Il entre dans la composition des tartes, flamiches et potages d'hiver.
    Enfin, vous pouvez ajouter des feuilles vertes de poireau dans votre bouquet garni et vous pouvez faire macérer une rondelle de poireau cru dans de l'huile ou du vinaigre pour parfumer votre vinaigrette.

    Source de l'article

     

     
     
     
     
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        Plante invasive, l'ambroisie gagne du terrain         
      Adventices   Forum       
      Sujet du message: Plante invasive, l'ambroisie gagne du terrain
       
      Posté le: Lun 4 Aoû - 08:09 (2008)      

     Plante invasive, l'ambroisie gagne du terrain

     

    L'ambroisie


    Joseph Bossé, à droite, et Dany Chauviré, repèrent une pousse d'ambroisie : « La plante raffole des espaces vides. »

    Des pousses de cette mauvaise herbe ont été repérées dans le Maine-et-Loire. En Rhône-Alpes,la plante fait déjà des ravages. Elle provoque des allergies.
    Dans le champ de Daniel Cadeau à Brain-sur-l'Authion, impossible de rater les traces de la moissonneuse-batteuse. Une plante y prolifère, traçant de longues bandes vertes dans le chaume jaune. « C'est de l'ambroisie, note Vincent Houben, responsable du pôle végétal à la chambre d'agriculture du Maine-et-Loire. Le poids de l'engin a enfoncé ses graines dans la terre, donnant quelques semaines d'avance à la pousse de la plante. Dans quinze jours, tout sera vert. »
    Ce n'est pas une bonne nouvelle. L'ambroisie est un puissant allergène. Son pollen provoque des réactions qui peuvent être violentes : rhinite, conjonctivite, eczéma, asthme sévère... La plante a déjà colonisé la région Rhône-Alpes. 6 à 12 % de la population y est allergique. Par ailleurs, l'ambroisie gêne les cultures, en leur faisant de l'ombre.
    La Fédération des groupements de défense contre les organismes nuisibles du Maine-et-Loire surveille très attentivement son évolution. « Il faut éviter de la toucher et de se promener à proximité, prévient Dany Chauviré, animateur des groupements. Nous sommes dans la période de floraison. Le pollen s'envole, surtout lors de grosses chaleurs. »
    La parcelle de Brain est la première à être touchée en Maine-et-Loire. « Nous avions déjà repéré l'ambroisie dans la Sarthe et la Loire-Atlantique, note Gérald Guédon, directeur régional de la fédération. D'ailleurs la personne qui l'a découverte à côté de Saint-Nazaire vient de la région Rhône-Alpes... et elle la fuyait ! »
    « Même pas bonnepour une tisane »
    Originaire d'Amérique du Nord, l'ambroisie a traversé l'Atlantique en contaminant un lot de fourrage en 1865. Les oiseaux, le vent, mais surtout l'homme, en ramassant la paille, sont responsables de sa prolifération. Car la plante est résistante : elle pousse sur des sols nus, n'a pas besoin de beaucoup d'eau et sa graine peut survivre quarante ans.
    Pour Daniel Cadeau, cela signifie une surveillance accrue de son champ et des champs voisins. Arrachage, fauchage ou utilisation d'herbicide pour se débarrasser des plants. D'autres solutions existent pour éradiquer l'ambroisie comme l'installation de plantes concurrentielles (gazon, moutarde...). « J'ai découvert cette plante dans mon champ il y a dix ans, raconte l'agriculteur. Personne ne savait ce que c'était à l'époque, j'ai attendu quatre ans la réponse. » Comme si ça ne suffisait pas, la plante est absolument inutilisable. « Même pas bonne pour faire une tisane ! »


    Pierre SAULNIER. mercredi 30 juillet 2008 Pays de la Loire
    Arrow Ambroisie


     Une pièce de plus à verser à un dossier bien lourd.
     Surnommée « herbe à poux » au Québec où on l’accuse d’être à l’origine de bon nombre de nuisances, l’ambroisie intègre ce que l’on appelle communément les « mauvaises herbes ». Mais si sa fâcheuse habitude de s’installer là où on ne l’attend pas était le seul reproche à lui adresser, il n’y aurait pas lieu d’en parler. 

    Espèce à part, l’ambroisie se distingue par le fort pouvoir allergisant de son pollen, devenu la hantise des personnes sensibles. Si l’on s’en réfère aux dires du Ministère de la Santé, « quelques grains de pollen par mètre cube d’air » suffisent à déclencher des symptômes caractéristiques. Il s’agit le plus souvent de rhinite allergique, laquelle se traduit par un écoulement nasal, l’apparition de conjonctivites et de gênes respiratoires de gravité variable. En France, on estime que 6 à 12 % de la population exposée est allergique à l’ambroisie, ce chiffre variant selon la zone ciblée.
    Incommodante, cette plante l’est d’autant plus qu’elle est extrêmement envahissante. Largement implantée en région Rhône-Alpes, elle a depuis investi les départements voisins des vallées de la Saône et du Rhône. Si les plaines et les collines de basse altitude lui sont propices, cela ne l’empêche pas de se fixer jusqu’à plus de 800 mètres d’altitude.
    Elle colonise des types de terrains variés. Il n’est pas rare de l’apercevoir sur les bas côtés des routes, sur les ronds-points ainsi que sur les bordures enherbées (1) des champs. Elle affectionne également les aires incultes jalonnant les zones commerciales, de même que les sites laissés en friche en attente de construction. Enfin, elle s’immisce aisément au sein des cultures agricoles, se répandant dans la plus grande discrétion avant d’être découverte lors de la récolte. Il est alors trop tard pour tenter de limiter la propagation de la plante, la coupe des moissonneuses favorisant la multiplication des tiges.
    Une contamination à laquelle chacun contribue. A notre insu, nous aidons cette plante à se disséminer en la transportant à l’état de graines sous la semelle de nos chaussures et sous les pneus des voitures particulières et des véhicules d’entretien. Une fois déposées, ces graines profitent du climat actuel, alternant périodes chaudes et pluvieuses, pour se développer rapidement.

    Noircissant encore un peu plus le tableau, les moyens de lutte contre l’ambroisie sont restreints. Si la floraison a déjà eu lieu, le recours à l’arrachage ou au fauchage s’impose.
    Mais la meilleure option consiste à intervenir avant la floraison, laquelle commence à la mi-août. Pour plus de sûreté, il est recommandé de détruire l’ambroisie dès les mois de juin-juillet afin de limiter au maximum la reproduction de la plante et d’éviter la production de son redouté pollen.

    Conscients que seule une action conjointe et organisée pourra endiguer ce phénomène, le Ministère de la Santé, la DRASS Rhône-Alpes et la DDASS de l’Isère ont prévu de se rencontrer le 21 novembre prochain afin d’arrêter un plan de lutte efficace.

    Cécile Cassier

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        Récolte du 2 août 2008        
      Mes Tomates   Forum       
      Sujet du message: Récolte 2008
       
      Posté le: Mer 2 août- 18:10 (2008)    
    Récolte du jour
    le 2 août 2008

    Russian Purple, tomate noire allongée, est presque aussi sucrée qu'un fruit.
    (Aujourd'hui, les fruits n'ont plus tellement de gout et sont rarement sucrés.)

    Golden Koningin avait en 2007, particulièrement résisté au mildiou.
    Cette année là on n'a pratiquement récolté que des tomates jaunes et des tomates cerises .

    Sur le front du mildiou, une seule attaque sur un pied, fin juillet, sur une variété de tomate cerise en forme de poire.
    le pied est reparti de plus belle.

    bonne nuit Halte au mildiou



       



     

       
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