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    Bonjour à tous
    Belle journée

    Temps couvert sur la plaine ce matin; 16°C actuellement. On continue notre petite histoire de moisson. Donc, alors que le convoi aborde l'entrée du village, juchés sur cet énorme tas de gerbes de blé, notre plaisir redouble à l'idée de voir des copains sur le bord de la route. Nous sommes gonflés d'orgueil tout en paradant sur ce char de victoire; victoire sur le beau temps sec qui s'est maintenue tout au long de cette opération. Le contraire eut été catastrophique; il y eut, aussi, des étés pourris, dans les années 50/60. Le grand intérêt de ce perchoir, c'était de pouvoir regarder dans les cours des fermes et de commenter ce qui s'y passait. Il y avait toujours quelques spectateurs pour nous adresser d'aimables signes de la main.
    Une fois arrivé dans la cour de la ferme, il fallait faire manœuvrer Chevaux et charrette; pas une mince entreprise, car le plus souvent il fallait faire reculer le convoi pour le placer juste au dessous de la tasserie; qui était souvent le grenier d'une des étables. C'est à ce moment que l'on pouvait admirer les qualités professionnelles du charretier. Une fois ce difficile exercice accompli, on priait les femmes de la ferme de grimper à l'échelle pour se positionner dans la tasserie. Ce dur travail était souvent réservé aux femmes, car celle-ci n'auraient pas eut assez de force pour soulever à bout de bras et de fourche les nombreuses gerbes très lourdes du grain de cette moisson. C'était la raison officielle de cette organisation; mais, en réalité, aucun homme n'aurait voulu monter là-haut en tasserie répartir intelligemment toutes ces bottes, car sous la toiture d'ardoises surchauffées, c'était l'enfer; il parait que cela pouvait dépasser les 50°C. De plus, les garnements que nous étions, n'étaient pas admis en tasserie, car trop haut et trop dangereux pour nos chères petites têtes blondes. Les femmes travaillaient encore en robe dans ce sauna surchauffé, car à l'époque il n'était pas de bon aloi, pour elles, de porter des pantalons. En bas le cidre «pur jus» coulait à flot et aussi, parfois la «goutte», afin de galvaniser toute cette main-d’œuvre, car il fallait se dépêcher de rentrer au sec toutes ces récoltes avant la fin du jour; Le temps pouvant très bien changer, les jours suivants. Seul le baromètre permettait d'entrevoir un éventuel changement de temps. La météo de l'époque ne pouvant garantir ses observations, au delà de 48 heures. Le soir, à la tombée de la nuit, tout le personnel de cette entreprise, était retenu à diner dans la grande salle de la ferme. Circulait, alors, tous les meilleurs plats qu'une ferme pouvait offrir à tout ces gens épuisés par ce dur labeur; tout ces meilleurs plats, donc, étaient dument arrosés du meilleur cidre bouché, du meilleur vin cacheté, en provenance du meilleur caviste du chef-lieu de canton, le bourg d'à coté. Dans les très grosses exploitations, il arrivait qu'un malheureux cochon bien gros et bien gras, fisse les frais du banquet. Paix à son âme.
    Â suivre demain... 

    Bonne journée.

     

         

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    Bonjour à tous
    Belle journée

    D'après les bulletins de la météo, la canicule va s'achever prochainement. 37 °C hier; 21°C actuellement au lever du jour. Depuis quelques jours, il faut tout arroser quotidiennement; cela demande près d'une heure de travail par jour; heureusement la citerne est encore bien pleine; au moins 10 M3.
    Cette canicule nous permet de nous remémorer une époque qui, sans être caniculaire, demandait aux moissonneurs de travailler sur la plaine, sans ombre et sous un soleil de plomb. Donc, une fois que toutes ces bottes de grains étaient relevées et mises en tas, il fallait attendre le séchage complet de cette moisson. Si une pluie survenait, cela retardait d'autant la rentrée de ces blés en gerbes dans les granges, les greniers ou les tasseries. De nouveau, nous accourions pour aider à ce travail de ramassage. Cette fois-ci c'était la jument attelée à la charrette à grandes ridelles, qui allait acheminer tous ces chargements vers les bâtiments du corps de ferme. Nous rapprochions de la charrette, toutes ces bottes, pourtant réparties en tas bien alignés. Un commis, se saisissait d'une botte, au moyen d'une fourche à 2 dents, et la soulevait pour la présenter sur la charrette, sur laquelle un autre commis répartissait adroitement les gerbes en lits successifs. Car il ne fallait surtout pas que le chargement soit déséquilibré lorsque la jument emprunterait le chemin défoncé et souvent mal entretenu. Nous avons vu assez souvent, ces équipages qui avaient versés dans le fossé, à cause d'un chaos ou d'un gros silex que ces grandes roues de charrettes étaient d'en l'impossibilité d'éviter. Il n'y avait pas d'amortisseurs sur ces types de matériels. Donc, le travail de chargement devenait de plus en plus dur à mesure que la hauteur des bottes sur la charrette, devenait vertigineuse. Ces hommes travaillaient en pantalon et veste  de toiles épaisses couleur bleu sombre; des vêtements rapiécés avec des carrés d'étoffes de toutes les nuances du bleu et de l'indigo. Le Jean et le teeshirt n'étant pas encore à la mode, sur la plaine de notre enfance. Ils se protégeaient le crane, le plus souvent, avec une épaisse casquette, généralement  en épais velours côtelé. Ils nouaient autour de leur cou un grand mouchoir à carreau, afin de protéger leurs dos de toute cette poussière remplie de petits barbillons très irritants. Seuls les cousins ou les «frangins» des villes, venus prêter la main, comme on disait à l'époque, dénudaient leur torse seulement protégé par un «marcel» immaculé; ils découvraient, souvent, un peu plus tard, et un peu tard, les bienfaits du soleil sur ces peaux nouvellement offertes à notre astre bienfaiteur. En tête du convoi, nous retrouvions le Patron qui ne murmurait pas à l'oreille des chevaux, mais réprimait par sa présence les mouvements intempestifs que la jument aurait pu imprimer au chargement. Tant son désir de retour à la ferme était grand. Une fois que la capacité maximum de la charretée était atteinte, il fallait bien arrimer tout cela. On passait une ou plusieurs cordes par dessus le chargement, que l'on serrait très fortement au moyen de 2 treuils situés à l'arrière de la charrette. Ensuite en nous agrippant aux ridelles de la charrette, nous nous installions sur le sommet du chargement de la charrette. Alors commençait un voyage délicieux et plein d'attrait sur cet attelage cahotant et plein de ces lenteurs qui sont souvent l'apanage des petits moments de bonheur. C'était la récompense de notre aide si enthousiaste. Demain nous raconterons comment on engrangeait toutes ces récoltes. 

     

    Bonne journée.

     

         

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    Bonjour à tous
    Bonne journée

    32°C sur notre plaine et à l'ombre, hier, je vous prie. Dans la cité de Jeanne Hachette, ce doit être la fournaise. Il en était ainsi, les jours de moisson sur la plaine de mon enfance. Sur cette plaine, un monde fou, les jours de moisson. Aujourd'hui, la plaine est désespérémment vide. Derrière la «moissonneuse-lieuse» tirée par deux robustes Percherons ou aussi, parfois, derrière un tracteur puissant, (le plus souvent un «société Française») toute la marmaille, à laquelle j'adhérais volontiers, s'agitait joyeusement. Une marmaille commise d'office aux travaux des champs. Une marmaille chargée de relever les bottes produites par la moissonneuse-lieuse et de mettre celles-ci en tas. Pas un tas n'importe comment; les gerbes devaient être dressées l’épi vers le haut et le tas recouvert par une dixième botte qui coiffait astucieusement le tout, pour qu'en cas de pluie les gouttes glissent le long des gerbes de blé. Le fonctionnement de la moissonneuse-lieuse était déjà un spectacle. Donc pas de moteur, pas de bruit; juste le «frou-frou» des sabots du cheval sur les éteules* et le délicat cliquetis de la machine bien huilée. Le travail de la moissonneuse-lieuse se décompose ainsi: La barre de coupe située à droite, fauche le chaume et les épis; une sorte de grande hélice, identique à celle des moissonneuses-batteuses actuelles, dresse correctement les épis de blé, qui sont ensuite entrainés par un tapis, qui va présenter ce chaume chargé d'épis dans un système de toiles, qui vont alors former cette botte si caractéristique. Avant son éjection de la machine, la botte est, ainsi, ligaturée avec de la ficelle de chanvre. Une ficelle, dont on faisait grand usage à l'époque. Les «Tiots» que nous étions, étaient, heureusement, accompagnés de nos parents, de nos oncles, des commis de fermes et, parfois, de quelques journaliers. Car il fallait canaliser toute cette fougueuse bonne volonté, parce que le travail des champs est un métier empreint de précision et d'expérience. Il en va de la réussite de la moisson. Je garderais toujours un souvenir ému à l'image de ce moissonneur, souvent le patron de l'exploitation, juché, en hauteur, à l'arrière de la moissonneuse-lieuse, sur une selle en ferraille. Un moissonneur tout à son office, hélant son cheval, par des mots brefs, voir des gargouillements d'arrière gorge, parfois des sifflets. Il devait, en plus, garder un œil sur la troupe d'assistants que nous représentions pour lui. On sentait chez cet homme, la fierté mise à la touche finale de près d'une année de dur labeur. Voici donc la première partie de cette technique de moissonnage des années 40/60. Il faudra ensuite rentrer tous ces beaux épis au sec dans quelques jours. C'est ce que nous essaierons de vous conter demain. 

     

    Alors à demain! Tout simplement.

    (*ce qui reste du chaume après le passage de la moissonneuse-lieuse)  

         

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    Lin vivace «Saphyr»

           
      J'ai cultivé cette fleur     

    Soleil

     

       
     Linacées
    Floraison    
    Hauteur : 30 cm     Juin/Juillet  

    Lin vivace «Saphyr»

     Vivace rustique et florifère. Appréciée pour sa présence légère. Résiste bien à la sécheresse.

    Lin vivace «Saphyr»

     Petite vivace très intéressante - Elle n'a pas survécu aux canicules.
     
     

      

         

     

       
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    Bonjour les amis
    Bonne journée

    Hier lundi, c'était la canicule qui s'avançait. 31°C à l'ombre et pas de vent, c'est du très beau temps. Dur à supporter pour ceux qui travaillent; la «clim» ne s'est pas encore invitée dans tous les locaux du travail. En parlant de travail, justement, voici comment on travaillait dans les années 50, dans nos campagnes. Durant les fortes chaleurs de juillet et d'août, il fallait procéder à la moisson; pas une mince affaire, car les moyens techniques différaient considérablement de ceux d'aujourd'hui. D'abord le monde agricole se divisait en deux; ceux qui avaient adopté le tracteur et ceux qui conservaient encore leurs chevaux. Les agriculteurs qui entendaient conserver leur cheval, étaient parmi les plus anciens; et, aussi, près de la retraite. Ils gardaient leur cheval, très souvent pour des raisons économiques; acheter du matériel agricole nouveau, représentait un investissement considérable pour des exploitations souvent trop petites. De plus, la plupart des Français avait été ruinés par la guerre; les agriculteurs, aussi.
    Donc, il y avait aussi d'autres agriculteurs qui  ne pouvaient se plier à cette avancée du progrès, par crainte de ne pouvoir s'adapter à cette nouvelle motorisation des matériels. Savoir mener des équipages hippomobiles requiert de longues années de formation et d'expérience, et ils craignaient de ne pas être à la hauteur de ce modernisme. C'est pourquoi, sur la plaine, au moment des moissons, on pouvait remarquer toutes sortes de matériels, du plus ancien au plus moderne, en passant parfois par le plus hétéroclite. Le tracteur flambant neuf côtoyait encore la fière jument qui mettait toute son ardeur au service de son maitre. La machine pour entreprendre la récolte était encore, le plus souvent, la moissonneuse-lieuse. Une machine développée «avant-guerre»; une machine très sophistiquée, finalement, car capable  de se passer de tout moteur, fumant et pétaradant. Cette mécanique précise et bien huilée fonctionnait grâce, et uniquement, à la traction du cheval, qui la tirait à travers les champs de blé. Cette mécanique avait remplacée au début du XXème siècle, les dizaines de faucheurs qui sous un soleil de plomb, couchaient sur le sol, des gerbes de blé, fruits du travail harassant du petit peuple de ce monde agricole.
    Demain il fera encore très beau, d'après la météo; on pourra, alors, continuer ce petit exposé sur l'agriculture des années 50.


    Alors! Alors! Â demain les amis.  

         

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        Collision en vol        
      Serre          
     
       
           
     Â l'aube, on a pu que constater, avec désolation, la mort de ces deux oiseaux. Deux oiseaux qui sont entrés en collision avec les vitres de notre serre. Cela arrive souvent, mais ils en réchappent, la plupart du temps. Ceux-là devaient voler très vite. Joutes amoureuses ou poursuite par un prédateur? On remarque de plus en plus de rapaces sur la plaine; tant nous sommes envahis par les rongeurs. Les hivers doux ne participant plus à l'élimination de ces bestioles.
    Ces oiseaux doivent être des grives, avec leur forte taille et leur ventre moucheté. Les vitres des serres et des vérandas peuvent aussi présenter les mêmes dangers pour les jeunes enfants.
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    Bonjour les amis
    Bonne semaine

    Il fait beau; il fait chaud; on peut profiter de son jardin à l'ombre des arbustes. On vit une période estivale en juin; cela n'est pas une nouveauté, depuis quelques années, ceci revient de plus en plus souvent. Les canicules printanières se font de plus en plus fréquentes. On consacre beaucoup de temps à l'arrosage; surtout en serre, où de nombreux plants attendent, encore, leur destination finale dans le jardin. Un petit godet de 7cm, n'a que 24 heures de survie dans une serre surchauffée. Nous n'avons pas fini les plantations de ces semis, car il nous faut, déjà, consacrer beaucoup de temps à l'entretien du jardin. Il est déjà nécessaire d'entreprendre  une deuxième taille des haies. L'herbe pousse de plus en plus fort et de plus en plus haut. La pelouse doit être tondue plus fréquemment. Bref! C'est le réchauffement climatique. La météo ne prévoit pas de précipitation avant mardi 27 juin. On se félicite par ces chaudes journées, d'avoir planté, il y a quelques décennies, des arbustes et des arbres, afin de pouvoir profiter de leur ombre rafraîchissante. Quand nous avons acquis la maison, il y a près de 40 ans, il n'y avait aucun arbre autour de la maison. Seuls 2 gros cerisiers, plantés en lisière de terrain, nous fournissaient de grosses quantités de cerises. La cour, devant la maison, en été, était surchauffée. Dans les maigres plates-bandes, rien ne résistait à cette rôtissoire. Sur la plaine, seules les céréales, semées de longue date, murissaient et profitaient avantageusement de ce bain de chaleur. Dans les massifs, les chétifs plants de fleurs plantés début mai, finissaient le plus souvent carbonisés, durant ces mois d'été. D'où l'utilité de cette ombre tamisée que nous  fournissent les bouleaux. Le bouleau est véritablement un arbre, très bien adapté à nos régions du nord de la France. Il est le plus septentrional des arbres à feuilles caduques. Il se rencontre en  Sibérie et au Canada, très loin vers le nord, au coté des sapins. Donc, profitez de ces journées très ensoleillées et très chaudes, pour prendre un repos bien mérité. Les vacances, c'est dans pas longtemps. Qu'on se le dise! 

    Â demain  

         

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