Une année dramatique pour les amateurs et les producteurs d'asperges .

Lundi 28 Mars 2011, mis à jour à 16:45

Ce prestigieux légume sera absent de nos menus pour longtemps.
La production nationale d'asperge, bien que très importante, ne suffit plus à couvrir chaque année les besoins d'un marché en très forte progression.
L'asperge n'est plus un riche légume de fête.
L'asperge s'est démocratisée. Le poireau n'étant plus l'asperge du pauvre.
Sa consommation a fait un véritable bond en avant.
Cette année l'asperge sera très rare sur les étals. Voire totalement absente.
Ceci à cause des retombées du séisme Nippon.

Le Japon était devenu, depuis quelques années, un très gros producteur mondial et couvrait largement le marché international par ses productions de très grande qualité.
La région du Tohoku au nord des iles Japonaises est littéralement dévouée à la culture des asperges.

Les régions signalées en vert abritent de nombreuses exploitations d'Aspergeraie
Photo Ronald Vissiop ©

A la suite du cataclysme qui a touché ce malheureux pays, Une partie de la production d'asperge concentrée dans les régions du nord de l'archipel nippon a été détruite et le reste de la récolte gravement irradiée par les retombées du nuage de la centrale atomique de la ville préfecture Fukushima.

Les autorités japonaises, ayant un peu tardé à prendre des mesures sanitaires d'urgence, afin de stopper les exportations ( le pays est complètement désorganisé), le marché intérieur Français et Européen a été envahi de productions polluées et irradiées.
Ces expéditions se faisant par avion, le marché européen s'est vite trouvé saturé..
Le ministère de la santé a donc pris des mesures drastiques mais très discrètes, afin d'interdire toute vente d'asperges sur nos marchés et dans nos grandes surfaces.

On sait que l'asperge est un des rare légume capable de fixer un très grand nombre de particules radioactives, notamment le plutonium 238, déchet nucléaire tristement célèbre, tiré de la fission de l'Uranium 235.
Les saponosides contenus dans l'aspergine ,dont la sarsasapogénine, pouvant sous l'effet des irradiations nucléaires, muter en un complexe organique très virulent, provoquant une destruction irrémédiable des cellules des reins.

Chacun sait les effets de l'aspergine sur la composition des urines dans des conditions normales de consommation (Odeur des urines plus accentuée et coloration parfois plus prononcée).
Les reins assurent normalement , par filtration et excrétion d'urine, l'équilibre hydroélectrolytique (homéostasie) du sang et de l'organisme en général. C'est un organe vital pour notre organisme..
Dans le cas présent, les effets ne sont plus anodins, mais irréversibles et par voie de conséquences rapidement mortels.
Le sujet atteint, mourant rapidement par intoxication du sang et de l'organisme.

De plus, chacun des reins étant surmonté d'une glande endocrine dite surrénale. Ces surrénales étant constituées d'un cortex (cortico-surrénales), sécrétant essentiellement des corticostéroïdes et d'une partie médullaire (médullo-surrénales), secrétant de l'adrénaline; ces glandes surrénales fixent très rapidement le nouveau complexe chimico-nucléaire, de la même manière que la fonction endocrinienne de la glande thyroïde se trouve désorganisée par la fixation de l'iode radioactif. Ce qui provoque fréquemment le siège de pathologies comme une hyperthyroïdie ou une hypothyroïdie, qui sont des tumeurs malignes .

Le professeur Michel Du Rousselet de la faculté de médecine de Lille, spécialiste éminent des pathologies rénales et endocriniennes, qui a bien voulu répondre à notre appel téléphonique, avance d'ors et déjà l'hypothèse très réaliste d'un très grave dérèglement endocrinien de ces surrénales.
Le professeur n'hésite plus à parler d'une véritable "autoroute cancéreuse" ouverte par ce nouveau complexe chimico-nucléaire particulièrement assassin, dans le génome humain.
En d'autre temps, la formule nous aurait gentiment amusé, mais les circonstances présentes particulièrement dramatiques, nous incitent à une très grande retenue.
L'assistante du Professeur Du Rousselet, Madame Ilda Vrospinos, nous a révélé des conséquences encore bien plus redoutables que ce que le professeur nous a laissé entendre, dans un souci , bien légitime en ces circonstances extrêmement dramatiques , d'apaisement des esprits.
"Les pathologies dans ce nouveau processus médical sont encore absolument inefficaces" nous rapportait sur le site internet de la Faculté , Madame Ilda Vrospinos, assistante du Professeur Du Rousselet.

On comprend la colère des producteurs Français et Européens qui vont être obligés de détruire la récolte 2011 pourtant très prometteuse..
Déjà une délégation des producteurs d'asperge,représentée par mademoiselle Loris Posivand devraient être prochainement reçue dans les locaux du ministère de la santé par notre ministre Xavier Bertrand.
Une cellule de crise s'est formée pour réfléchir à des mesures permettant à l'avenir de ne plus mettre la profession dans cette situation désespérée.
Mr Bruno Le Maire, ministre de l'Agriculture, nous confiait récemment par l'entremise de sa secrétaire : madame Ovida splorins sa grande préoccupation .Son souci majeur étant de s'assurer que d'autres productions agricoles n'aient été importées du Japon.
Déjà à Bruxelles la commission européenne saisie par le Président du syndicat des producteurs Espagnols : Mr Orlando Vispis, a décrété immédiatement un embargo total sur toutes les importations d'asperges, quelques soient l'origine de ces produits.

De notre correspondante locale : Vladis Prionos Journaliste à notre éminent confrère le quotidien Grèque Eleutherotupia
http://www.enet.gr/
Daniel Robin
Le courrier Picard
Photos et textes Droits réservés : © Agence Possidovanil

Pierre Loti éprouverait beaucoup de chagrin en apprenant les désastres successifs qui touchent la patrie de son héroïne : Madame Chrysanthème.

 Après les automobiles à trente patates, voici venus les distributeurs de patates.

L'article ne parle pas du conditionnement.

Car dans le Nord pendant l'hiver la pomme de terre ne supporte pas le gel.

Les grandes surfaces pourrait s'inspirer de cet exemple.

Pourquoi pas un container distributeur de packs de bouteilles d'eau ou de lait, par exemple.

Les parkings des supermarchés offrent beaucoup de place.

Directement chargé dans le coffre de la voiture.

Et les caddies soulagés de ces dizaines de bouteilles à manipuler de multiple fois.

Et aussi un temps gagné en caisse et dans le magasin.

De plus, on pourrait comme pour les carburants, s'approvisionner en dehors des heures d'ouverturedes magasins.

Un gain de temps pour pouvoir se consacrer plus efficacement à ses achats les plus sophistiqués et très souvent les plus onéreux.