Bonjour Bienvenue
Belle tempête de printemps. Hier, on a vu les arbres se tordre de douleur sous les rafales et les bourrasques. Une partie de leur jeune feuillage s'est souvent vu éparpillé, façon puzzle, au quatre coins de la plaine. C'est que sur la plaine, les rares arbres survivants du remembrement des années 50, ont fini en buches de 50 dans les inserts; des nouveaux venus dans l'âtre des foyers; des nouveaux venus, en matière de fournisseurs de gaz carbonique. Dont tout le monde connait, maintenant, les méfaits pour notre atmosphère. Petit-fils d'agriculteur, dans les années 50, j'habitais dans la ferme de mon Oncle; j'entendais souvent les anciens cultivateurs près de la retraite, qui fustigeaient leurs enfants, repreneurs de la ferme, sur la manière de remplacer le cheval par le tracteur. Les jeunes agriculteurs mettaient en évidence l'utilité d'exploiter de plus grandes parcelles, et pour cela d'abattre certaines haies, certains arbres, certains bosquets ou même, parfois, certains bois. (Nous n'irons plus au bois..... Vous connaissez la chanson). Les anciens critiquaient cette manière un peu anarchique de déboiser pour rendre l'agriculture plus rentable et surtout plus facilement exploitable par les nouveaux outils. Les deux, chacun dans leur réflexion, avaient raison. Sans remembrement et sans déboisement partiel, l'agriculture Française ne serait pas ce qu'elle est devenue aujourd'hui. C'est à dire, l'agriculture Européenne la plus importante; un Fleuron en terme de qualité; un Fleuron, si mal rétribué, actuellement. On peut observer, actuellement, ici ou là, la plantation de nouvelles haies par les agriculteurs. Les haies avaient souvent été arrachées à cause de la transformation de l'agriculture; l'élevage, se rationalisant, on dut transformer des terres de pâture en pièces de céréales. Une Agriculture qui n'aurait pas tenu compte des évolutions techniques et économiques du monde, ne serait plus une agriculture moderne. Une agriculture moderne est une agriculture plus rentable et de grande qualité. En attendant, à chaque nouvelle tempête, on peut aisément observer que les vents se sont sensiblement renforcés et que le nombre de tempêtes a, lui aussi, augmenté. Cela pour toutes sortes de raisons. Que les climatologues, les météorologues et les écologistes connaissent bien. Â demain
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tu as tout résumé en quelques lignes
et en plus les eaux de pluie ne sont retenus aussi .... et voilà le progrès
une tuile de cassée et une grosse branche pour moi j'irai voir dans le verger tout à l'heure
Sur mes serres une plaque s'est envolée.
Heureusement on a des plaques neuves en réserve.
Point positif: La citerne s'est remplie