«Patates et virus»
Bonjour
Voici la pluie tant attendue depuis le 14 mars. La terre va être plus facile à travailler. Les pommes de terre ont été plantées. Ainsi que les échalotes, l'ail et les oignons. Pour la planche des pommes de terre le fumier des poules y est largement étalé. Il faut, en outre, y ajouter un engrais naturel à caractère biologique. Un engrais fort bien pourvu en potasse et en phosphore. Sinon le fumier des poules trop fort en azote va provoquer le grand développement du feuillage. Ce qui n'est pas vraiment le but recherché pour un légume dont on ne consomme que les tubercules. Une salade composée à l'aide de fanes de pommes de terre serait néfaste pour notre santé. Moins grave que les effets de «qui vous savez» dont on cause à tout bout de champ, en ce moment. Je n'ose plus prononcer son nom; cet animal qui est train de «foutre» en l'air l'économie mondiale. Ce n'est pas nécessaire de l'appeler, il s'invite très bien tout seul et sans carton d'invitation. En parlant de virus, on m'a informé récemment que le virus de la tomate a été éliminé des exploitations où il avait été signalé fin 2019. Ne pas le confondre avec le mildiou qui est un champignon parasite. Pour en revenir à nos patates, je les ai planté à 30 cm sur la ligne et à 70 cm d'écartement sur les rangées. Comme il faut butter les rangs, la culture demande beaucoup d'espace entre les rangées. On butte les pommes de terre pour éviter le verdissement des bulbes. Car ce verdissement s'avère être toxique. Ce qui peut se révéler néfaste pour nos boyaux. Ce n'est pas la peine de surcharger les urgences par notre imprudence. Surtout en ce moment!
Bon mardi
Les carnets de Jules Hostouley
|
Salut
la chance d'avoir la pluie,
en Lorraine c'est le virus qui nous touche
pas de pluie
un soleil qui brille, brille, brille