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La graine débarque le bulbe Légumes Forum Par White Tendance le 29 Octobre 2011 à 08:03 Du rififi dans l'échalote
Par Marie laure Moinet
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La course à l'échalote Légumes Forum Par White Tendance le 29 Octobre 2011 à 07:48 Guerre franco-néerlandaise sur l'échalote
Publié le 07/07/2011
Les producteurs bretons d'échalote repartent en guerre contre les semenciers néerlandais qu'ils accusent de vendre des oignons sous le nom qui leur est autorisé depuis 2006 d'"échalotes de semis" pour leurs hybrides oignons-échalotes, a-t-on appris aujourd'hui auprès des producteurs.
"On avait convenu d'une définition précise entre l'échalote de tradition et l'échalote de semis, hybride oignon-échalote", rappelle Pierre Bihan-Poudec, président de la Société d'intérêt collectif agricole (Sica) de Saint-Pol-de-Léon (Finistère) et de la section nationale échalote.
Mais depuis, "trois variétés vendues dans le commerce ne sont que des oignons, selon des travaux réalisés par un laboratoire de l'Inra", affirme le responsable.
L'échalote traditionnelle bretonne est plantée en bulbes, à la main, et récoltée de même tandis que la version hybride néerlandaise est semée et récoltée mécaniquement avec des coûts de 30% moindres pour une vente dans le commerce en France quasiment au même prix.
"Il est clair et net qu'au fur et à mesure que l'on va glisser vers la catégorie oignon le rendement va être plus important, de l'ordre de 40 tonnes à l'hectare alors que l'échalote est au mieux à 20 à 25 tonnes, la tentation est grande", souligne M. Bihan-Poudec.
"On a alerté le ministère de l'Agriculture, le bureau des semis, ils nous disent qu'ils vont saisir la commission européenne adéquate mais nous restons en veille, on s'est déjà fait rouler par la production semencière néerlandaise", a-t-il prévenu.
Après une guerre entamée dans les années 1990 par les producteurs bretons contre les hybrides néerlandais, la justice européenne avait tranché en 2006, autorisant l'appellation échalotes pour les produits hybrides des Pays-Bas mais avec la mention "de semis" et non "traditionnelle", au grand dam de producteurs bretons qui ne voulaient pas qu'ils puissent utiliser le nom d'échalote.
la concurrence néerlandaise
STANISLAS DU GUERNY / CORRESPONDANT À RENNES | LE 27/01/2015 À 06:00
Les producteurs réclament le retrait des « fausses échalotes » issues de la recherche d'une société néerlandaise.
Les producteurs d'échalotes traditionnels à bulbe souffrent de la concurrence des produits de semis.
Leurs représentants rentrent de Bruxelles où la Commission se penche sur une révision des variétés.
Après la manifestation de début du mois de janvier dans le Finistère au cours de laquelle 300 producteurs d'échalotes traditionnelles ont déversé 3.000 tonnes de produits sur la RN12 pour protester contre la concurrence des échalotes de semis, la profession rentre de Bruxelles. Elle y a rencontré en fin de semaine dernière les représentants de la Commission et des parlementaires européens. « L'accueil a été bon, ils ont compris qu'un souci existait dans l'inscription des différentes variétés compte tenu de la confusion entre les échalotes traditionnelles et celles de semis d'origine néerlandaise », indique Hubert Le Nan, le président de la section nationale des producteurs d'échalotes traditionnelles. Ils réclament une clarification de la réglementation européenne et le retrait des « fausses échalotes ». Spécificité de la cuisine française, l'échalote classique au goût moins marqué que l'oignon peut se cuisiner crue. Elle est plantée à partir de bulbes. Celle issue des semis a plus la forme d'un petit oignon et est née de la recherche d'une société néerlandaise, De Groot, qui a mené un long combat auprès du Conseil d'Etat et des autorités européennes pour faire reconnaître son produit dans les années 2005.
Aides d'urgence
Problème, le consommateur français ne fait pas la différence alors que le coût de production est très différent. 80 % des 40.000 tonnes d'échalotes traditionnelles récoltées chaque année en France, le sont dans le nord du Finistère. « Leur prix de revient est compris entre 40 et 50 centimes le kilo. Actuellement, nous les vendons 6 centimes », continue Hubert Le Nan. Les 4.000 producteurs prennent de plein fouet la concurrence des Néerlandais. « Pour l'échalote à partir de graines, il faut compter une heure de main-d'oeuvre pour un hectare. Pour le bulbe, 100 heures sont nécessaires pour une surface identique », continue le responsable. Résultat, les espaces consacrés aux semis, effectués principalement dans la Beauce, sont en forte hausse. La production est passée en quelques années de 3.000 à 12.000 tonnes. Les pouvoirs publics ont été alertés depuis plusieurs années afin qu'ils puissent mettre de l'ordre dans la réglementation de l'Office communautaire des variétés végétales chargé de définir les caractéristiques des différents produits. Toujours selon Hubert Le Nan, « rien n'est clair, rien ne bouge ». L'Etat français a demandé à inscrire le sujet à l'ordre du jour du prochain comité permanent des végétaux de la Commission européenne, prévu fin janvier. En attendant les décisions européennes, les producteurs bretons réclament des aides d'urgence : « Nous craignons non seulement pour la saison en cours mais aussi pour la suivante », indique encore Hubert Le Nan.En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journal20150127/lec2_pme_et_regions/0204076626763-lechalote-bretonne-juge-deloyale-la-concurrence-neerlandaise-1087124.php?y0C52v4algpkMgIt.99
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Graine de plaisir Légumes Forum Par White Tendance le 5 Juin 2011 à 18:48 Happy Birthday ! Une graine de plaisir
6 messages possibles : Happy Birthday, Love, Welcome, Good Luck, Peace, Thank you...(et oui, les haricots parlent anglais)
 l'heure où fleurissent les jardins, voici un joli cadeau de mot, qui montera jusqu'à 50 cm et pourra vivre sa vie dans le jardin, tout l'été...
Dommage il n'y a pas de texte en Français
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La pomme de terre OGM Amflora Légumes Forum Par White Tendance le 11 Mars 2010 à 01:18 La pomme de terre OGM Amflora dans nos champs ?
Mis en ligne mercredi 10 mars 2010 par Tela Botanica Association - Brèves
La Commission européenne a autorisé mardi 2 mars 2010 la culture de la pomme de terre génétiquement modifiée Amflora. Cette décision a suscité de nombreuses réactions, dont celle du Gouvernement Français qui saisit le Haut Conseil des biotechnologies (HCB).
Après la décision de la Commission européenne d’autoriser la culture d’une pomme de terre transgénique, les réactions n’ont pas manqué. Principe de précaution, craintes des OGM, intérêt économique et recherche stratégique se mêlent, 12 ans après la dernière autorisation d’un OGM en Europe. BASF, son créateur assure qu’Amflora ne servira pas à l’alimentation humaine, mais la présence d’un gène de résistance aux antibiotiques attise les inquiétudes... Retour sur une pomme (de terre) de discorde.
Le 2 mars, la Commission européenne autorisait la culture de la pomme de terre transgénique Amflora à destination de l’industrie et de l’alimentation animale. Elle laissait toutefois la décision d’accepter ou non cet OGM à chaque Etat membre. Actuellement, trois Etats (Belgique, Italie et Autriche) ont fait part de leur opposition à cette culture. La France, quant à elle, réserve son jugement en attente de l’avis de son Haut Conseil des Biotechnologies. D’autres pays « sont d’ores et déjà prêts à l’utiliser » selon les dires de BASF : l’Allemagne, les Pays-Bas, la République Tchèque et la Suède.
Lire la suite de l’article du 5 mars 2010, par Grégoire Macqueron, sur le site Futura-sciences.comOGM: annulation de l'autorisation de la pomme de terre Amflora
AFP Publié le vendredi 13 décembre 2013 à 10h46 - Mis à jour le mercredi 05 février 2014 à 07h49Le tribunal de première instance de l'Union européenne a annulé vendredi l'autorisation de mise sur le marché de la pomme de terre OGM Amflora mise au point par BASF. Il inflige un gros désaveu à la Commission, qui se voit reprocher d'avoir "violé, d'une manière substantielle, ses obligations procédurales". La Commission a autorisé en mars 2010 la commercialisation de la patate en question pour la production industrielle d'amidon et pour l'alimentation du bétail. Elle se basait sur un second avis positif de l'agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA). Celle-ci a estimé que la pomme de terre Amflora ne présentait de risque ni pour la santé humaine ni pour l'environnement, même si des avis contraires minoritaires ont été exprimés en son sein. Certains scientifiques craignent que le gène de résistance aux antibiotiques puisse se transmettre à d'autres organismes.
La Hongrie, soutenue par la France, le Luxembourg, l'Autriche et la Pologne, avait introduit un recours contre cette décision.
L'arrêt rendu vendredi par le tribunal de l'Union constitue un sérieux désaveu pour la Commission. Celle-ci "s'est écartée des règles des procédures d'autorisation" en ne permettant pas à des comités d'experts nationaux - notoirement divisés - de prendre position sur un second avis de l'EFSA, estime le tribunal.
Or, bien que l'agence de sécurité alimentaire ait confirmé une précédente opinion positive, le nouvel avis "doit être qualifié de nouvelle évaluation de fond, et non de simple confirmation de pure forme des évaluations des risques contenues dans les avis antérieurs".
A travers une procédure non conforme, la Commission a donc cherché à court-circuiter les Etats membres. Car si les comités d'experts n'étaient pas parvenus à se mettre d'accord, elle "aurait été tenue de soumettre les propositions d'autorisation au Conseil", qui aurait pu approuver ou non les autorisations en question.
L'arrêt marque une nouvelle étape dans la bataille entre pro et anti-OGM sur le Vieux Continent, où aucun consensus ne semble se dégager. En se dotant en 2001 de strictes procédures d'autorisation, l'Union espérait pouvoir apaiser les tensions. Sans succès. La procédure mise en place, qui donne à la Commission le dernier mot faute d'accord entre les Etats membres, est très contestée.
La firme BASF n'a en tout cas pas attendu que l'Europe se fasse un avis définitif. Le géant allemand de la chimie a annoncé début 2012 qu'il renonçait au développement et à la commercialisation de nouveaux produits transgéniques destinés à l'Union européenne. La culture de l'Amflora a déjà été interrompue. Le groupe a par ailleurs décidé de transférer le siège de son département recherche-développement en cultures transgéniques aux Etats-Unis.
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Plants de tomates Légumes Hauteur : 30 cm Forum Plants à planter au potager 12 barquettes de 10 en tomate
+ 4 barquettes de poivrons et d'aubergines.
Des plants bons à planter en pleine terre.
Mais la prudence commande de les garder au sein de la serre
Au chaud
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Culture des tomates en serre Serre Forum Sujet du message: Serre N°1 en 2015 Posté le: Jeu 26 Avr - 07:17 (2015) Culture des tomates
12 barquettes de 10.
+ 4 barquettes de poivrons et d'auberginesCulture des fraisiers dans les gouttières.
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Première récolte de fraises Fruits Forum Sujet du message: Fraise : Promesses de récolte Posté le: Dim 26 Avr - 09:23 (2015) Alain : Mieux qu'une promesse, première récolte ce jour. Achetées en pépinière l'année dernière, elles ont passé l'hiver dans la serre et bénéficient du chauffage à 12° mini que j'ai mis en service pour mes plants d'aubergines depuis le 15 mars. bonjour poule météo godefroy Jardin Blanc Oise Picardie Potager Fleur Légume Tomate Forum Animal Nature Terre
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Belles promesses de récolte en serre Légumes Forum Des plants déjà implantés en gouttières depuis plusieurs années.
D'autres, trop vieux, donnaient beaucoup de feuilles et pratiquement plus de ces akènes rouges vifs, au parfum sublime et à la saveur sucrée.
Ils ont été remplacés par des plants tout neufs, issus des promotions de ce printemps dans les grandes surfaces.
Un plant de poivron vient de s' égarer dans l'univers de Madame MoutotDes plants issus de stolons, prélevés dans la planche de fraisiers en extérieur, attendent de venir remplacer les plants qui n'auraient pas repris. . Des plants en cours de nettoyage. Les fraisiers produisent de nombreuses feuilles mortes, au cours de l'hiver.
30 mètres de gouttières plantées de fraisiers, assurent de nombreux désserts pendant le printemps et l'été.
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Belles promesses de récolte en serre Fruits Forum Sujet du message: Fraise : Promesses de récolte Posté le: Sam 25 Avr - 05:26 (2015) Belles promesses de récolte en serre
Des plants déjà implantés en gouttières depuis plusieurs années.
D'autres, trop vieux, donnaient beaucoup de feuilles et pratiquement plus de ces akènes rouges vifs, au parfum sublime et à la saveur sucrée.
Ils ont été remplacés par des plants tout neufs, issus des promotions de ce printemps dans les grandes surfaces.
Un plant de poivron vient de s' égarer dans l'univers de Madame Moutot
Des plants issus de stolons, prélevés dans la planche de fraisiers en extérieur, attendent de venir remplacer les plants qui n'auraient pas repris. .
Des plants en cours de nettoyage.
Les fraisiers produisent de nombreuses feuilles mortes, au cours de l'hiver.
30 mètres de gouttières plantées de fraisiers, assurent de nombreux désserts pendant le printemps et l'été.
bonjour poule météo godefroy Jardin Blanc Oise Picardie Potager Fleur Légume Tomate Forum Animal Nature Terre
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