Bonjour
Dans quelques jours c'est le printemps. Les températures sont brutalement remontées. Les régions du sud en ont fait les frais. Chez nous, juste quelques flocons. Un peu de verglas hier en début de journée. Dans le jardin les invasives non vivaces ont été consumées par le gel de ces dix derniers jours. Dans le poulailler les pondeuses ont repris leur besogne. De un œuf par jour au premier février, elles donnent maintenant six œufs par jour. Et ce n'est pas fini. Les trois mois qui s'annoncent sont les meilleurs en matière de production d'œufs. La tradition des œufs de pâques est pour beaucoup dans ce constat. Pour les éleveurs qui désirent assurer la descendance de leurs pondeuses, c'est l'époque où il va falloir mettre les œufs à couver. Des poussins qui naissent dés le début du printemps ont beaucoup plus de chance de bien se développer. Dans les serres, des plants de salades repiqués il y a trois semaines semblent avoir subi des dommages à cause du froid. Du fait de la neige, les oiseaux sont venus se servir sur ces plants très tendres. Le pied de mimosa conservé en pot depuis l'année dernière a bien supporté cette période de froid. Â l'extérieur les serres ont subi quelques dommages des nombreuses tempêtes de cet hiver complètement déjanté. Une canalisation d'eau servant à irriguer les serres n'a pas supporté ce gel brutal; malgré sa mise hors service. Sur la maison, quelques gouttières et descentes de gouttières ont été endommagées. On va pouvoir enfin procéder aux premiers semis sur cubes au chaud dans les serres. Ils ont déjà pris plus d'un mois de retard. Il est très difficile de procéder à ces semis par moins dix degrés. Ce travail très minutieux ne réchauffe pas du tout. Dans ces périodes, seul le travail de bûcheron peut se pratiquer à l'extérieur. D'ailleurs durant ce mois de février nous avons souvent entendu le chant mélodieux des tronçonneuses à l'orée des bois.
 demain
Les carnets de Jules Hostouley
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Bonjour
neige tout ce weekend en Lorraine,
ce lundi cela commence a bien fondre par endroit, et ça résiste ailleurs