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    Bonjour

     S'il est une aromatique qui évoque facilement les vacances, c'est bien le basilic. Cette condimentaire accompagnant souvent les plats servis en Provence et aussi et surtout en Italie. Le basilic est une plante très forte en gout et ne laisse pas le consommateur indifférent. Il est le composant essentiel du «pistou», cet accompagnement des plats provençaux, composé d'ail et d'huile d'olive. Les spaghettis sont souvent accompagnés de cette aromatique. Seulement voilà, c'est la culture de cette condimentaire qui pose quelques difficultés, car c'est une plante de climat de doux. Dans notre climat du nord de la France, cette plante ne supporte absolument pas l'hiver, mais  peut  être cultivée avantageusement en mai en pleine terre. Soit par semis, soit par plantation de plants bien développés en pots. Ayant la chance de disposer d'une serre, je sème  2 ou 3 variétés en mars dans mes serres. au moment du semis des tomates, par exemple. Contrairement au persil, le basilic lève assez vite, si on lui apporte la chaleur nécessaire. Mais en mars il bénéficie de la chaleur de mes bacs de propagation alimentés par des câbles chauffants. Ces bacs sont alors particulièrement encombrés par les semis de tomates, de poivrons, de piments, de pétunias, d'œillets d'inde, de melons et de tous les légumes et les fleurs dont on veut s'assurer de la grande précocité. Il m'arrive de semer  des haricots dans une  de mes serres, qui seront, 2 mois après, remplacés par les plants de tomates et de poivrons. Donc le basilic que je sème en potée ou en jardinière ou parfois en petits godets, est transféré sur ma terrasse, à proximité de la cuisine. Au début du printemps, comme les conditions climatiques sont encore un peu fraîches, il va directement de la serre vers la cuisine, dans des potées à l'aspect décoratif. Il délivre, alors, généreusement, son arôme dans toute la cuisine. Il est nécessaire qu'il ait atteint son complet développement, car si ses feuilles sont trop vite consommées, la végétation de cette plante est mise en péril. Il est souhaitable de faire des semis échelonnés, car il fleurit rapidement. Une fois, ces bouquets de fleurs bien taillés, il repart de lui même. J'ai actuellement plusieurs jardinières en pleines production composées de 3 variétés. Deux variétés à grosses feuilles très charnues et une variété à petites feuilles violettes. En novembre ces contenants retourneront en serre, afin d'échapper aux gelées éventuelles. 

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    Bonjour
    La plante aromatique universellement cultivée est bien le persil. On le trouve dans les plus grands potagers, jusque sur le plus modeste appui de fenêtre ou sur la table de la cuisine, en bouquet odorant, disposé dans un verre d'eau. Pourquoi un tel succès, alors que sa culture n'est pas si facile, à vrai dire? C'est la combinaison de son aspect et de son parfum qui contribuent largement à son succès. En plus, cette aromatique est bourrée de vitamines. Amoureusement disposé sur un très grand nombre de plats que  notre art culinaire comprend, il symbolise parfaitement le spectacle de la nature que nous aimons tant. Il apporte fraîcheur et parfum sur des viandes bien cuites, par exemple. Pour le jardinier, sa culture n'est pas la plus aisée. Cela tient à sa longue durée de germination qui peut durer prés de trois semaines. Le radis qui peut lever au bout de trois jours, est bien plus rapide. Lorsque ce petit légume au bout rosé, peut prétendre figurer au menu de nos crudités, le persil, quand à lui, ne fait que développer de minuscules et frêles plantules au feuillage finement découpé et ciselé. Tout cela, si les mauvaises herbes lui ont laissé un coin de soleil pour pouvoir étirer en longueur ses fragiles petites feuilles vertes. Le persil est une plante bisannuelle. C'est à dire qu'il peut supporter un hiver, mais un hiver, pas trop rigoureux. Mais la deuxième année il va avoir tendance à fleurir et à monter en graines. Ses tiges vont devenir plus coriaces et ses feuilles moins parfumées. Je le cultive comme une plante annuelle. S'il a résisté à l'hiver; tant mieux. Mais je le ressème, chaque année en serre, en potée ou en jardinière, au mois de mars. Ensuite, en mai, ces divers contenants sont disposés sur les murets de la terrasse exposés coté nord-est, car le persil aime bien prospérer dans une certaine fraîcheur. Il peut donc subir la coupe quotidienne, qui va venir enrichir la plupart de nos plats et aussi lui permettre de renouveler la structure de son feuillage. Mais il ne faut pas le ratiboiser, car il a besoin d'une partie de son feuillage pour capter les bénéfiques rayons du soleil. Ensuite à partir de juin-juillet, ayant formé des plants très robustes, je le replante dans le jardin, en bordure, le plus prés possible de la cuisine, le lieu où il va pouvoir offrir toute la gamme de ses qualités culinaires. Tout au long de la saison, j'en ressème dans des grandes jardinières, afin de pouvoir les rentrer en serre début novembre. La dernière fois que j'ai ainsi semé cette aromatique, remonte aux alentours du 15 août. Le persil est aussi une plante médicinale extraordinaire. Une plante médicinale aux qualités multiples. Le Persil est chaud & dessiccatif, atténuant, apéritif, détersif, diurétique et hépatique; c'est ainsi qu'il est présenté dans les manuels d'herboristerie. Une de ses variétés, offrent aussi des racines aussi grosses que des carottes, Elles sont souvent utilisées dans le pot-au-feu, comme le panais. Beaucoup de jardiniers préconisent de mettre ses graines à tremper pendant 24 heures, avant de procéder au semis. Comme je sème toujours en serre, cette pratique me permet de m'affranchir de cette méthode, pourtant très efficace.

    «Arrosoir et Persil» 

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    Bonjour

     Dans les nombreux conseils que prodigue Internet, sur les travaux à réaliser durant le mois de septembre, dans le potager, je remarque qu'il est encore possible de semer certaines plantes condimentaires. Le cerfeuil par exemple. J'en ai semé en pleine terre au début du mois. J'en avais semé en serre, pendant les mois de canicule dans des jardinières en plastique. Il est en pleine forme et n'a pas encore fait mine de monter en graine. Je l'ai laissé prospérer à l'ombre de ma haie de pommiers. En été il n'aime pas trop le plein soleil. S'il est en exposition trop chaude, il fleuri et monte très vite en graines. Certains laissent ces graines se ressemer en place, mais cette pratique est déconseillée, car on peut le confondre avec la cigüe, breuvage létal que Socrate s'administra lui-même. J'ai semé les deux variétés, à savoir: Le cerfeuil frisé et  le cerfeuil ordinaire. Ce cerfeuil est plus parfumé que la variété frisée. Mais celui-ci résiste mieux à la montée en graine. Donc dans le potager, le semis commence à croitre à coté des semis de mâche exécutés depuis la fin du mois d'août. Beaucoup moins long à lever que le persil, le cerfeuil est une plante condimentaire de grande utilité. Son léger gout d'apéritif méditerranéen bien connu, s'emploie souvent en alternance avec le persil. Cela permet de varier le gout et la présentation des plats de crudités. Le cerfeuil outre ses qualités de plante condimentaire, est aussi au catalogue des médicinales. Il est diurétique et  dépuratif. Il existe deux autres variétés de cerfeuil, qui sont le cerfeuil musqué à feuilles de fougère, très découpées et le cerfeuil tubéreux. Cette variété est un peu plus compliquée à cultiver; ses graines ayant une capacité germinative très courte. Ses racines ne peuvent être consommées qu'après un passage en cave. Quand à son feuillage, il est toxique.

     

     

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    Bonjour 

    Débarqué prématurément  dans notre région en cette année 2017, l'automne fait sa rentrée officielle, aujourd'hui. L’été moribond depuis des semaines, a bien tenté de reprendre vie ces derniers jours, en faisant grimper le mercure aux alentours des 20°C, mais il faut s'en faire une raison, l'été est bien mort pour cette année. Dans l'attente d'un hypothétique  été Indien, nous allons essayer de vivre pleinement cette saison, enfant chérie des artistes. Donc Vendredi 22 septembre, c'est l'automne. Avec son cortège d'intempéries et de couleurs multiples. L'automne est une saison de grandes récoltes. Dans les champs les maïs vont être récoltés, les betteraves arrachées et les tournesols égrenés. Dans les bois châtaignes, noix et noisettes vont aller rejoindre les greniers. Dans les prés et les forêts, les champignons de toute nature vont embaumer les cuisines de leurs suaves senteurs champêtres.
    Pommes et poires vont garnir les rayons des fruitiers. Les coings au teint de bile, iront remplir de gelées tremblantes des pots en verre rangés dans les armoires. Enfin dans les régions viticoles, des grappes gonflées de sucre et de soleil, vont transiter des hottes vers les cuves et libérer un nectar mis en réserve dans des caves centenaires, pour le bon plaisir des années futures. En somme, un festival de réjouissances pour les trois prochains mois. On profite souvent pleinement de ces derniers beaux jours, car on sait bien que l'hiver n'est pas loin, et on l'entend, même, parfois, frapper à la porte, les jours de grand vent. Dans le potager, où plus un espace libre ne subsiste, c'est la récolte généralisée et quotidienne de toutes sorte de légumes. Même si certains d'entre eux, sont restés «maigrichons» desservis par ces deux dernières saisons vraiment décevantes. Sécheresse, canicule et fin d'été glaciale et pourrie, n'ont pas favorisé leur croissance.  Si mes poireaux, si rabougris, qu'ils ne pourront même pas servir de vivre, de couvert et d'hôtellerie à la mineuse du poireau, ce sont mes douze routes de six mètres de mes haricots, qui m'inquiètent un peu. Semés tour à tour en mai, juin et juillet, ils ont tous été entravés, dans leur développement, par ces brutaux excès de chaleur. Ils sont donc très en retard et viennent de subir un mois de températures largement en dessous des moyennes saisonnières .Si la culture du haricot est assez facile, celui-ci est un légume fragile. Légume frileux, il lui faut de la chaleur, mais pas trop, et aussi de l'humidité, mais à consommer avec modération. Je compte beaucoup sur cet hypothétique Été Indien, pour pouvoir faire quelques conserves de mes quatre variétés de haricot. C'est là les aléas de ce que l'on appelle communément, maintenant, le réchauffement climatique. En douteriez-vous encore?

     

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    Bonjour  

    Le beau temps revient. Donc on en a profité pour travailler dans le potager et dans les serres. Car il y a encore beaucoup à faire dans un potager, avant la fin de l'automne. Dans les serres, qui contiennent principalement des plants de tomates, il a fallu opérer un grand éclaircissage des feuilles. Comme chaque jour le soleil tend à restreindre son audience, il faut bien compenser cette indélicatesse, par des moyens radicaux. Donc élimination des feuilles les plus anciennes et forcément les plus grosses. Arrachage des pieds les plus malingres, qui ayant perdu leurs feuilles pendant les diverses canicules de juin et de juillet, n'ont pu se refaire une santé et sont demeurés tout petits. Il faut aussi se débarrasser de l'oxalis. Cette espèce de trèfle à quatre feuilles qui recouvre le sol sur une hauteur de 20cm. C'est une envahissante particulièrement difficile à éradiquer. Elle se reproduit par graines et aussi par ses nombreux bulbilles qu'elle développe à la base de ses tiges. C'est là surtout son moyen de propagation dans nos planches et dans nos serres. Son aspect n'a rien de repoussant; sa floraison non plus. Mais comme elle lève plus vite que les autres graines, elle finit par entraver gravement la bonne germination des nouveaux semis. Dans les serres cette petite envahisseuse ne gène par la croissance des plants de tomates. 20cm de haut contre 2 ou 3 mètres de hauteur pour les plus grands pieds de tomates, «Y a pas photo». Je dirais même que ces petites adventices empêchent la germination d'autres envahisseuses beaucoup plus grandes, car le sol de mes serres est très fertile. Hier encore, après cette opération d'éclaircissage dans les serres, j'ai déversé un engrais liquide bio au pied des mes tomates. Un engrais qu'il faut renouveler une fois par semaine et cela jusqu'en octobre. Les tomates, les melons, les aubergines et les poivrons que je cultive en serre ou en châssis, sont des espèces particulièrement voraces. Voici donc la carte d'identité de cet engrais bio, essentiellement constitué de vinasse de betteraves. «Engrais NF U 42-001. NPK 3-2-5 + oligo-éléments. 3% d'azote total (N) dont 3% d'azote organique, 2% d'anhydride phosphorique (P2O5), 5 % d'oxyde de potassium (K2O).Cet engrais contient naturellement de la magnésie et les oligo-éléments suivants : bore (B), cobalt (Co), Cuivre (Cu), fer (Fe), manganèse (Mn), molybdène (Mo), zinc (Zn) ». Un engrais liquide que je ne trouve que dans certaines grandes surfaces de la grande distribution, très souvent proposé en promotion. Gammvert ne propose cet engrais liquide qu'en grand conditionnement et à un prix de revient prohibitif. Donc aujourd'hui je continue ces opérations, car ce beau temps ne durera pas toujours.

     

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    Bonjour  

    Le temps va se rétablir progressivement dans les prochains jours. Du moins, c’est ce que l’on nous annonce, du coté des services de la météo, en espérant qu’ils n’aient pas consommé tout le contenu du lave-glace, avant de venir bosser. Beaucoup moins de pluie. 78 mm au total, pour l’instant, dans le pluviomètre. Dans le potager, c’est l’envahissement par toutes les mauvaises herbes. Par les adventices, devrais-je dire, pour sacrifier à la mode. Qu’on les appelle mauvaises graines  ou adventices, le résultat est le même : Il va falloir ressortir  binettes et serfouettes. Arracher tout ce mouron blanc, qui va constituer le menu végétal des poules qui ne pondent plus, perturbées par ce dérèglement climatique, qui affiche des températures de début novembre. Leur parcourt étant gorgé d’eau des pluies récentes, est recouvert d’une épaisse couche de paille. Cela les oblige à travailler ferme. Elles retournent dans tous les sens cette paille fraîche qui pourrait recéler, encore, quelques grains de blés, oubliés par la moissonneuse, si sophistiquée fût-elle. Elles espèrent aussi y découvrir d’imprudents insectes qui auraient établi, préventivement, leurs quartiers d’hiver dans ce gros ballot rond de plus de 300kg. Une poule est une infatigable travailleuse qui retourne inlassablement le sol, à la recherche du moindre grain, du plus petit vermiceau, du minuscule gravier ou du dernier éclat de coquilles d’huitres. Les petits graviers leur servent à remplacer les petites meules, qui au sein de leur gésier leurs servent à moudre toutes ces petites graines de céréales, patiemment ingurgitées. Les coquilles d’huitres, de moules ou de divers coquillages, leurs servent à constituer la coquille de l’œuf qu’elles vont produire dans les prochaines heures. Une poule qui pèse en moyenne 2 kg500 produit quotidiennement un œuf de 70 grammes. Cela permet d’entrevoir  le travail énorme que doivent accomplir, journellement, ces gallinacées. Alors qu’à l’aube de chaque journée, le coq plastronne et parade fièrement sur son tas de fumier, en espérant faire lever le soleil, chaque jour, de plus en plus tôt, tout en s’égosillant à tue-tête, d’un chant qui tire prématurément de leur sommeil, les honnêtes dormeurs que nous sommes.

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    Bonjour  

    Orage assez soutenu hier après-midi. Pourtant des températures toujours fraîches pour la saison. L'humidité ambiante ne parviendra pas à faire grossir mes poireaux qui sont restés nains depuis la canicule. Depuis plusieurs années déjà, il n'est plus possible d'obtenir des poireaux de taille convenable. Si ce ne sont pas les sécheresses de la fin de l'hiver qui entravent la germination des semis, c'est la mineuse du poireau qui se manifeste. Cette petite mouche blanche vient pondre au printemps, à partir d'avril sur les jeunes plants de poireaux. Les œufs éclosent et produisent des petites larves qui creusent des canaux à travers la plante. Ces larves, une fois bien rassasiées avant nous, du blanc de nos poireaux, se transforment en une sorte de chrysalide: La pupe. Que l'on peut très bien repérer sur les poireaux infectés, car sa couleur est brune, ce qui la signale immédiatement à notre introspection. L'état du poireau est révélateur. La plupart du temps il s'effondre sur lui même, sa structure étant parcourue par de multiples canalisations. Car les larves naissant sur le sommet des feuilles, vont descendre vers le bas du poireau. Il est alors recommandé, dés les premiers signes de dégâts, de couper les feuilles pratiquement au raz du sol. De ne pas mettre celles-ci sur le tas de compost. Mais si on a une basse-cour à sa disposition de donner ces feuilles aux poules, qui vont finir par tout consommer. Lorsque l'on donne ces feuilles aux poules, elles affichent, dans un premier temps, une certaine indifférence vis à vis de ces feuilles, somme toute, assez coriaces et qui ne sont pas cuites. Mais le lendemain, on peut constater que tout a disparu. L'histoire ne se termine pas là, car en juillet, les pupes donnent naissance à de nouvelles mouches, qui vont de nouveau s'abattre sur nos cultures de poireaux pour y pondre une deuxième rasade d'œufs, qui vont alors éclore... La suite de l'histoire, vous la connaissez. C'est cette deuxième attaque qui est certainement la plus destructrice, car une fois passées les pontes du printemps, on relâche bien souvent sa vigilance, et en fin d'été, il est souvent trop tard, la mineuse a tout ravagé. Pas de produit Bio ou de synthèse pour lutter contre cette larve. Le moyen le plus recommandé pour dissuader cette envahisseuse venue de l'Est, est la pose de filets anti-insectes. Certains disposent autour de la culture ces plaques jaunes enduites d'une substance adhésive et recélant un parfum qui attire ces petites mouches blanches. D'autres préconisent de cultiver de la menthe dans les environs immédiats. Je n'ai jamais essayé ces divers moyens. Donc je suis obligé de m'approvisionner auprès des étals de ces énormes poireaux deux fois plus gros que ceux des miens que j'arrivais à obtenir dans mon potager avant l'arrivée de cet insecte ravageur. Au fait! Comment font les professionnels pour échapper à cette calamité et nous proposer sur les marchés, ces énormes poireaux sans beaucoup de gout?

     

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    Bonjour 

    Encore de la pluie hier en fin de journée, après une journée très calme, sans le moindre brin de zéphyr. Cette humidité débutée en début août va favoriser le retour des limaces et des escargots. En ce qui concerne les escargots, on peut les ramasser et après dégorgement les transformer en plat de fête. Même les petits gris de nos jardins se prêtent à cette opération. Beaucoup moins cossus que les gros bourgognes, leur chair est plus fine, plus délicate. Déjà en septembre 2013, nous avions ramassé de nombreux bourgognes. «Ces jours de pluie sont très favorables aux escargots.
    Après cet été caniculaire, nos bêtes à cornes peuvent revivre de nouvelles aventures.
    On en a ramassé un grand nombre en peu de temps.
    De nos jours, on ne voit pratiquement plus d'amateurs d'escargots dans nos campagnes.
    Est-ce la règlementation qui décourage les chercheurs?
    Il y a encore 40 ans, ils étaient nombreux les chasseurs d'escargots.
    On envoyait surtout les enfants dans la campagne à la recherche de ces petits mollusques.
    Et pourtant il y a encore de nombreux coins à bourgognes dans notre région.
    Notre campagne est vide de ses habitants.
    Seuls les tracteurs sillonnent les chemins campagnards.
    Autrefois on allait aux champignons, aux pissenlits, aux fraises, aux mures, aux framboises, aux myrtilles,  aux noisettes, aux noix, aux châtaignes et aux escargots....
    Et j'en oublie certainement... La pêche à la grenouille par exemple... Ou le glanage, une fois la récolte engrangée.
     Les gens serait-ils devenus fainéants?»
    Ainsi parlait-on en 2013. Non! Les gens ne sont pas devenus fainéants, contrairement aux affirmations de  notre Président, mais la campagne s'est radicalement transformée, et ses nouveaux habitants, aussi. L'exploitation massive des terres agricoles, oblige les agriculteurs à mettre en valeur toutes ces petites parcelles abandonnées, depuis toujours à la nature. Donc plus de petits bosquets, de grands ronciers, de haies défensives, qui sont le lieu de prédilection de toute cette petite vie sauvage. Mais on ne peut, dans le même temps reprocher aux professionnels de l'agriculture de détruire la vie sauvage et leur demander ensuite que leurs exploitations soient les plus efficaces, les plus performantes. Les surfaces agricoles reculant chaque année devant le bétonnage des zones urbaines, les agriculteurs sont bien obligés de mettre en valeur les moindres parcelles, jusqu'alors, délaissées et abandonnées à la prolifération de la vie sauvage. Ceci est une réalité économique. Que penserait-on de nos agriculteurs, déjà gravement accablés par les effets de la crise, s'ils n'avaient le souci quotidien, de mettre  en valeur, cet outil de travail que constitue le domaine agricole?

     

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         Journal Ordinaire D'Un Jardinier Ordinaire

           

    Bonjour

    Dans les serres les récoltes sont encore très importantes. Essentiellement des plants de tomates. Du fait de la canicule, certains plants ont eu leurs feuilles complètement grillées. Des pieds n'ont pas supporté d'être privés de leurs feuilles et sont morts. Ce qui prouve bien que les tomates ont besoin de leur feuillage pour prospérer. Alors que des jardiniers les privent très tôt de leurs feuilles. Ce sont les nombreux bouquets naissant à l'aisselle des grandes feuilles qu'il faut supprimer. C'est maintenant, qu'il faut commencer à supprimer des feuilles, car le soleil se faisant rare, les plants de tomates demandent plus de lumière. Si le mildiou ne fait pas des ravages d'ici là, on pourra encore récolter des tomates jusqu'en novembre. Dans les serres bien évidemment. Les pieds de tomates qui sont morts ont été remplacés par des pieds cultivés en pots. Une dizaine de plants de poivron  Pusztagold ont aussi pris la place de ces plants de tomates défunts. Le semis des poivrons s'étant montré désastreux, j'ai recommencé le semis deux mois plus tard. Ce nouveau semis, favorisé par la canicule, a réussi au delà de toute espérance. Résultat des dizaines de plants cultivés en grands pots, qui viennent remplacer avantageusement tout ce qui a été détruit en serre. Les récoltes de ces petits poivrons, si généreux, a commencé depuis plusieurs semaines. Depuis quelques jours, j'élimine en serre des plants de tomates devenus trop chétifs ou chargés de fruits nouveau-nés qui ne pourront atteindre leur complet développement avant l'hiver. Cela Libère de la place dans les serres et permet d'entreprendre  d'autres cultures. Du plant de laitue semé début août et qui ne pourra plus se développer efficacement dans le potager, vient remplacer progressivement les plants éliminés dans les serres. Les serres sont ainsi exploitées toute l'année. En novembre, par exemple, quelques vivaces un peu fragiles seront stockées dans les serres. En février de nouveaux plants de laitues seront plantés, en vue d'une récolte en avril. Certaines années j'y ai semé de nombreuses routes de mâche. Une technique très employée par les maraichers. Ainsi, une serre bien conduite, permet de gommer les aléas de notre climat maritime. Comme en ce moment. Dans les serres tout le monde continue de prospérer; dans le potager, les légumes se sont mis au chômage et attendent des jours meilleurs.

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         Journal Ordinaire D'Un Jardinier Ordinaire

           

    Bonjour
    46 mm dans le pluviomètre pour les quinze premiers jours de septembre 2017. La moyenne pour un mois se situe vers 58mm, pour un total de 700mm par an. Nous sommes dans une des régions les moins arrosée de France. L’année dernière nous étions en pleine canicule avec 31° à l'ombre le 13 septembre 2016. Après les différentes canicules de cette année 2017, nous sommes dans une période humide, normale pour la saison, mais très froide, ce qui est moins normal. Nous avons du allumer le chauffage, car avec 14° depuis plusieurs jours et des vents violents, les intérieurs ne sont plus très confortables. Dans le jardin les légumes se sont mis en stand-by et le mouron blanc fait une progression foudroyante. Les grandes feuilles des courges se couvrent de peluche blanche; c'est l'oïdium. Le mildiou n'a pas encore embrasé les tomates cultivées en extérieur, mais ce n'est plus qu'une question de jours, pour voir apparaitre cette lèpre qui condamne tous nos espoirs de belles récoltes. Depuis janvier 1995, je note scrupuleusement l'état du ciel et les températures et la pression atmosphérique. Cela, non pas, pour établir des prévisions, mais pour essayer de comprendre ce que l'on nomme couramment, depuis plusieurs décennies, le réchauffement climatique. Encore beaucoup des êtres qui peuplent ce monde, et non des moindres, comme le Président Trump, par exemple, pensent que le réchauffement climatique est une galéjade, une lubie de scientifiques attardés. Mais il est bien là ce réchauffement. En ce qui concerne le Président Trump, je reste persuadé qu'il croit gravement au changement climatique. Les experts dont il a su s'entourer, lui ont certainement fait un rapport très circonstancié sur les bouleversements qui vont accompagner ce réchauffement. Le Président Trump est un homme intelligent; il suffit de voir comment il a su mener sa campagne présidentielle et prendre démocratiquement le pouvoir. Seulement voilà, le Président Trump est un homme d'affaire, un capitaliste, un milliardaire qui mettra tout en avant pour protéger ses intérêts financiers, au risque de piétiner ses propres sentiments. Il a du être sincèrement bouleversé lorsqu'il a assisté aux monstrueux dégâts occasionnés par les différents ouragans qui ont traversé toute la région des Caraïbes. Mais le Président Trump reste un arriviste épris de  pouvoir et de Dollars et demeure près à sacrifier jusqu'à sa propre famille, sur l'autel du profit et de la réussite. Tout n'étant qu'une simple question de prix. On ne gravit pas les marches de la société capitaliste avec des bons sentiments. Pour en revenir à mes petites observations, je croie discerner dans ces observations d'une vingtaine d'années, une redistribution des saisons. Autrefois, dans nos régions tempérées, il y avait quatre saisons bien distinctes, mais actuellement, il semblerait ne subsister que 3 saisons voir 2 dans certains cas. On peut déjà constater que la saison communément appelée «Hiver» a progressivement disparue de notre calendrier. Les températures douces de tous ces hivers, depuis plus de 30 ans, en témoignent. Donc, notre climat ne s'articulerait plus que sur 2 saisons, à vrai dire. Une saison sèche et souvent caniculaire, et une saison humide et souvent fraîche. Tout cela au conditionnel, bien évidemment, car je n'ai pas la prétention de formuler un nouvel état de notre climat. Il faudra encore de nombreuses années d'observations pour établir les véritables changements subis par notre climat, et les dégâts occasionnés à notre chère planète

     

    Â demain  

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