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    God Save Our Garden

    Bonjour Les Jardinautes ! En ces temps de fête, rendons hommage aux jardiniers Anglais, nos amis; des jardiniers dont l'influence s'est brillamment illustrée au sein même de nos jardins les plus chers.
    Si tout s’est bien passé dans votre région et dans votre jardin, ce mois-ci c’est l’arrivée des premières grosses récoltes. Jusqu’ici laitues et radis, asperges et pois, épinards et fèves se sont inscrits au menu de nos cuisines ; maintenant c’est au tour des pommes de terre de se mettre dans la file des épluchables à l’entrée de la cuisine encombrée depuis maintenant deux mois, par toutes ces primeurs. Une cuisine, devenue un laboratoire où il faut déjà songer à sortir écumoires et bassines cuivrées ; pots, bocaux et étiquettes. Les rhubarbes ayant ouvertes depuis le mois de mai leurs ombrelles généreuses, pourvoyeuses de tartes acido-sucrées et de brunes confitures au gout d’enfance et d’autrefois. Même branle-bas au royaume des fruits rouges ; les fraises de pratiquement toutes les variétés donnent, déjà depuis un mois, généreusement, leurs gros bonbons sucrés qui viennent enrichir les yaourts et autres fromages blancs, les tartes et gâteaux nappés de chantilly. Les grosses non-remontantes, grâce à leurs productions abondantes, se trouvant transformées en coulis et confitures ; confitures souvent élus reines par les bambins, tant le gout prononcé de cet akène, le place, au royaume des saveurs, sur le même podium que le chocolat et la vanille. Pour les jardinautes les plus chanceux, maintenant, de généreuses gousses, s’agitant au gré du vent, vont faire onduler les planches de haricots semés en mai. Du coté des fleurs l’arrivée de la reine des jardins, le mois dernier, annonce une nouvelle floraison après toutes ces intempéries; avec des couronnes aux épines acérées, mais non mortelles; avec des nuances multiples et aussi variées que les atours royaux d’une Reine, britannique de son état.
     Honnie soit qui mal y pense.

    Â demain   

         

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    Bonjour

    Télépathie... « Télé pâti! » disait notre brave Camerounais, dépossédé de son téléviseur…. Hé oui !Télé partie en vacance. On nous assure que 45% de la population ne part pas en vacances. Pratiquement la moitié des Français. Du coup, toutes les grandes émissions de la télé sont, elles aussi en vacances.....Et c'est là le scandale; tout ceux qui restent à la maison doivent supporter des rediffusions, des séries américaines pour public de TF1... et j’en passe. Et pourtant tous ces téléspectateurs payent leur redevance comme les autres. Tous les grands réalisateurs, tous les présentateurs, ont droit aux vacances comme les autres. Mais ils sont provisoirement remplaçables.
    Or, on ne le fait pas. Leurs émissions s’arrêtent pendant leur congé. Dans le meilleur des cas on repasse les meilleurs moments de ces émissions. Tout cela est un vrai scandale.
    La moitié des Français s'éclatent en vacances. On nous le susurre quotidiennement dans les journaux d'information. L'autre moitié doit se contenter de la «merde» qui reste, tout en continuant de payer pour cette malodorante prestation télévisuelle. Heureusement pour notre plus grand bonheur, il y a le tour de France.  Mais dans une semaine ce sera l'arrivée aux Champs Élysées. Et par la suite plus rien d'inédit à se mettre dans l'écran. Avec plus de 30 chaines, difficile de trouver une émission correcte. Obliger de se rabattre sur les spots publicitaires; les seules émissions qui auraient encore quelques qualités. Ou alors, dans le cas contraire, leurs créateurs seraient devenus complètement fous. Eux qui attendent des montagnes d'Euros de cette prestation; ces créateurs qui mettent leur talent au service de la publicité pour aliéner notre volonté, en nous susurrant à l'oreille des messages destinés à augmenter leur immense fortune. Quand je vois ces publicistes, venir à la télévision, se vanter de leur réussite prodigieuse en matière publicitaire, je me demande toujours par quel trou, ils comptent nous l'introduire, une fois de plus, la prochaine fois. La publicité n'est plus informative, voire instructive, comme l'on nous disait autrefois, mais destinée à surenchérir les profits de ces énormes agences de publicité.

    La télé : c'est la vision carrée d'un monde qui ne tourne pas rond. ( Franck Dhumes )

    Â demain   

         

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    Bonjour
    Aujourd'hui c'est la Fête de la France et des Français. Hé bien parlons-en des Français! Le Général De Gaulle, qui a tant oeuvré pour la France, disait «Que la France est belle! Dommage qu'il y ait des Français». Nous allons évoquer nos petits travers, alors, qu'aujourd'hui les hommes politiques de tout bords, vont glorifier ce qu'il y a de meilleur, en nous, les Français.

    Prenons, par exemple le site sur Internet : Copains d'avant (Copainsdavant)
    Pourquoi cette dénomination ? Plus copains maintenant ? 187 membres inscrits à Jouy sous Thelle. C'est pas rien! Une formule qui a du succès. Comme tous les réseaux sociaux d'ailleurs. Nos concitoyens seraient-ils en manque de reconnaissance ? Eux, qui bien souvent ne regardent même pas leurs voisins.
    S'enfermant dans des bastions de mépris, des donjons de préjugés, des tours d'ivoire d'autosuffisance ou des culs-de-basses-fosses d'incivilités. Il suffit de regarder tous nos contemporains au volant de leurs véhicules, dans la file d'attente des commerçants, derrière les remparts de leurs haies, enfumant leur entourage aux gaz de barbecue, ratiboisant hebdomadairement leur moquette engazonnée à grand renfort de décibels, parcourant inlassablement (surtout le dimanche) les chemins communaux aux commandes de Bi, Tri ou Quadri bidules rugissants et polluants, enfin délestant quotidiennement sur le domaine public, le contenu nauséabond de l'appareil digestif de leurs compagnons choyés, adorés et à fourrure soyeuse, quand ce n'est pas à la mâchoire puissante et agressive. Bref, la vie contemporaine en communauté, serait-elle à ce point incroyablement pénible à supporter, pour aller à ce point se réfugier dans le virtuel, pour tenter de reconnecter des relations, si hâtivement balayées de leurs souvenirs.. Autrefois dans les quartiers et les villages ont se regardait (presque toujours), se côtoyait, s’appréciait, s'aimait, s'enviait, s’engueulait (assez souvent), se fâchait (parfois), se colletait (quelques fois)...Mais on vivait pleinement au sein de la communauté des Autres. L'Autre serait-il devenu un ennemi ? Un être puant et porteur de microbes, voire de virus ? On ose espérer que tout cela ne soit que fictions ou cauchemars. Mais il faut bien vite se rendre à l'évidence. C'est la réalité du quotidien. C'est pourquoi, on assiste sur le Net, à un fantastique engouement pour ces réseaux sociaux qui atteindront très vite leurs limites..Faisons un rêve, en ce vendredi 14 juillet 2017.... Si le retour en grâce de la politesse, du don de soi, de l'altruisme, de la bienséance et de la gentillesse pouvaient être le souci légitime de nos compatriotes et une réalité quotidienne...
    I have a dream 

    Â demain   

         

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    Fête Nationale 
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    Bonjour 

    Moins cher que moins cher. Petites réflexions en ces temps de crise. Malgré la crise nous ne réformons pas  nos habitudes d'acheteur et de consommateur. Toujours le moins cher possible et, si possible en grande quantité. Regardons un domaine que je connais bien : Les outils de jardinage. Les outils de nos grands-parents étaient très solides mais aussi très chers. La preuve: ils ne nous laissaient jamais les utiliser. De crainte que nous cassions le manche. Aujourd'hui, les aciers sont encore de meilleure qualité qu'autrefois. Et ils le seront encore plus dans l'avenir. Et on peut fabriquer des outils encore plus solides que ceux des anciens. Mais il faut, mettre le prix qu'il faut. Les consommateurs que nous sommes, ont été habitués à acheter tout au moins cher possible. Mais la qualité est à la hauteur du prix et inversement. Nos grands-parents quand ils achetaient une bêche, par exemple, se rendaient dans l'unique grande quincaillerie du chef-lieu de canton, dans le bourg voisin.  Ils demandaient une bêche et le vendeur leur apportait souvent l'unique modèle en magasin. Nos grands-parents ne s'inquiétaient du prix qu'au moment de passer à la caisse. Ils avaient de toute façon grand besoin de cet outil et ils savaient que celui-ci leur ferait de l'usage pendant des années, voire pendant des décennies. Et comme les prix ne variaient que très peu, à l'époque, ils avaient en permanence le souvenir du prix réel. Aujourd'hui, si on doit acheter une bêche, on consulte les montagnes de pub déposées dans les boites aux lettres. On fait le tour des jardineries, des grandes surfaces, à la recherche du moins cher que moins cher.  Tout en évitant le petit magasin du vrai professionnel. Et on achète un outil à 9€99, par exemple. Très important çà 9€99...On n'a pas payé 10€00! La belle affaire! Et par la suite on s'étonne que l'outil commence à rouiller au bout de quelques mois; que le manche perd sa rectitude à la fin de la saison; que l'outil se démanche au bout d'un an ou deux; qu'une dent casse ou se tord sur un effort un peu plus violent. Il en est ainsi pour tous nos achats. La faute en est aux consommateurs que nous sommes (et dont je fais partie); toujours à la recherche d'un produit le moins cher possible. A chaque promo de grande surface, on s'encombre d'objets ou de produits de faible qualité, que l'on n'utilisera jamais, pour la plupart. Mais on a l'impression d'avoir gagné de l'argent. Il nous faut des grandes maisons pour stocker tous ces achats. Si l'on n'achetait que des produits de bonne qualité, à un prix raisonnable, mais forcément plus couteux, que tout ce qui se vend habituellement, on rentabiliserait cet achat couteux sur un temps forcément plus long mais finalement rentable à long terme.
    On n'aurait plus besoin d'importer ces produits à bas cout fabriqués par un personnel bas de gamme, dans des pays encore sous-développés. On restaurerait des emplois manuels de qualité qui se sont exportés en Chine, par exemple.  Et la Chine pourrait enfin travailler à plein pour son marché intérieur.  Car seul 10% de la population chinoise profite, pour l'instant, pleinement du boum économique de ce pays.
    Les Chinois, peuple très ingénieux, très courageux, très travailleurs, n'ont pas besoin qu'on leur ouvre notre marché de produits bas-de-gamme, pour faire tourner leurs usines.
    Du coup, ils se contentent de produire bas-de-gamme, pas cher et en grand nombre.
    Ils ne cherchent donc pas à faire plus de qualité et par voie de conséquence à proposer des salaires plus attractifs à leurs employés. Ils le feront un jour ou l'autre, n'en doutez pas; mais ceci n'est pas encore d'actualité.  Cela représente une menace politique grave pour ce pays; les populations rurales très nombreuses et tenues à l'écart de cette expansion fabuleuse, ne se contenteront pas toujours d'être les spectateurs d'une société urbaine qui profite pleinement de cette réussite. Comme le Maghreb en a fait  récemment la démonstration, qui peut encore parier pour un avenir serein  de la Chine, dans les conditions où une partie très importante de sa population est laissée pour compte.
    Six mois avant, personne n'avait pronostiqué la chute du mur de Berlin.
    Et le monde n'a pas encore fini de tourner...Loin s'en faut!


    Quand la Chine s'éveillera..................... 

    Â demain   

         

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    Bonjour 

    Des fromages à chier ! Non ! Â puer.
    Je me souvient que le vrai fromage Français vraiment populaire était le camembert.
    Le "calandosse" comme on dit encore de nos jours.
    Seulement voilà ! Depuis, on a voulu gouter tous les Fromages et se dispenser de l'odeur.
    Plus prosaïquement, le fromage n'est qu'une espèce de substance tirée du lait animal, que l'on a mis a pourrir, pendant un temps, bien déterminé, en fonction de la variété du fromage.
    En terme concret !Bonjour l'odeur! Mais malheureusement, les nouveaux fromages ont tous des appellations très ronflantes; mais sont dépourvus d'odeur et par voie de conséquence de gout.
    Si l'on ne veut pas manger de fromage qui pue, il faut se rabattre sur le yaourt nature, le Petit Suisse ou le fromage blanc, la Caillebotte ou la Jonchée .
    Rassurez-vous ! Les qualités nutritionnelles sont sensiblement les mêmes.
    Et surtout arrêter d'en interdire l'usage aux autres, au nom d'une "soi-disant" hygiène alimentaire.
    Il a suffit que depuis la guerre, un quarteron de " Bonne-femmes" en mal de diététique, agissent contre les productions de ces fromages au lait cru, pour que le Camembert y laisse le meilleur de lui-même : Son gout! Et du même coup, son odeur, bien évidemment. L’un n’allant pas sans l’autre.
    Les Américains ont aussitôt emboité le pas pour éliminer toutes productions non aseptisées, non pasteurisées et non stérilisées. Au profit de la crème glacée sucrée. Ils n'ont vraiment pas de leçon à nous donner, quand on voit la largeur que le «cul» de leurs «bonnes- femmes», a pris en moins d'un siècle.. Rappelons que les Américains consomment près de 10 fois plus de crème glacée que les européens. Aujourd'hui on est obligé de se rabattre sur des fromages plus élitistes en terme de gout, mais bien plus cher... Roquefort, Maroilles , Munster, Pont l'Évêque et autres Crottin de Chavignol.
    Bien évidemment tous les Normands et aussi tous les Picards savent bien que le Camembert , ne peut se consommer, immédiatement, après l'achat; mais qu’il doit faire l'objet d'un affinage familial de quelques heures, voir de quelques jours, pour que cette production laitière renommée, développe tous ses arômes les plus subtiles. Le Camembert a cette vertu suprême, de pouvoir être consommé à divers stades de son évolution. Livré dans son emballage papier et sa boite si caractéristique, par le fromager, le Camembert n’a pas encore vraiment d’odeur, ni de gout. Il comblera, avec bonheur, l’appétit des tout-petits et aussi celui des adultes qui craignent de puer de la gueule par la suite. Certains puent déjà de la gueule, quand on les entend s’exprimer dans la vie courante ou sur les réseaux sociaux ; alors bouffer du Calandos surfait, ne doit pas les effrayer beaucoup. Ensuite ce Camembert peut passer par tous les états de la matière ; les fragrances coutumières, le suivant de peu. Des variétés allotropiques, en quelque sorte… Bien connues des chimistes. Sa pâte molle et blanchâtre, encore de bonne tenue dans les heures qui suivent l’achat, peut se transformer, alors, en un sirop épais, un torrent crémeux, de couleur jaunâtre, aux effluves pédestres. Et cela, surtout en cas de fortes chaleurs. Â ce stade il est souvent traité de « coulant ». Par la suite s’il n’a pas débordé de son emballage, il va prendre une consistance bien plus ferme et colorer son épiderme de toutes sortes de nuances d’orange de noir et de jaune, et parfois aussi…De veèèèèrt !. Dans les cas les plus extrêmes.
    Il m’est arrivé, en des temps plus anciens, de me délecter de cette substance très élaborées, que quelques asticots frétillants s’étaient, déjà, offert en guise d’amuse-gueule. En été, en Normandie, dès l’apparition des premières pommes, nous mangions souvent des pommes épluchées, en accompagnement de notre cher camembert tartiné sur de grosses tranches de pain confectionnées à partir de ce « 4 livres » qui semble avoir, maintenant, déserté les rayons de nos boulangeries, qui n’en demeurent pas moins et pour longtemps, encore, les temples, du savoir-faire, du bon gout et de la qualité.

    « Comment voulez-vous gouverner un pays qui a plus de 300 fromages » Charles De Gaulle.

     

    Â demain   

         

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    Bonjour 

    Record de pluie sur la région Parisienne; Métro inondé; rues envahies par des torrents tumultueux; le climat ne s'exerce plus que par ses excès; dans une région du globe que l'on disait «Tempéré». Donc, pour la journée d'hier, 17 mm dans le pluviomètre; de la pluie douce, sans cataracte. Toutes les plantations sont humidifiées à cœur. L'air ambiant, rafraichi ; 20°C maxi, malgré du soleil dans l'après-midi. La citerne est remontée à 60cm, ce qui est la moitié de sa capacité; environ 8m3 pour tenir pendant la prochaine canicule. Dans notre département, il est toujours interdit d'arroser les jardins et de laver les voitures. Le changement de climat nous a obligés à nous adapter. Surtout en matière d'arrosage. Il y a encore une trentaine d'années on pratiquait l'arrosage automatique. Je disposais, alors, de deux arroseurs automatiques. On branchait le tout sur la citerne, en soirée après 20 heures; jusque vers 23 heures. Quand la citerne était vide, on passait sur le réseau d'eau de ville; l'eau ne coutait presque rien à l'époque. Maintenant, je ne déploie plus le gros tuyau d'arrosage, muni d'un pistolet; 30 mètres de tuyau de gros diamètre et rigide; donc, difficile à manipuler. J'ai remplacé le tout par 6 petits enrouleurs, qui comportent, chacun, 10 mètres de tuyau très fins et très souples. Même en raccordant 3 de ces petits tuyaux, la perte de charge est minime. Chacune de mes 3 serres, sont alimentées par un enrouleur de ce type. Très pratique à mettre en œuvre. Si je veux arroser tout le jardin dans son intégralité, cela prends près d'une heure. Un binage vaut deux arrosages, mais en période de canicule cet adage n'a plus cours. Un principe efficace au temps de l'ancien climat dit «Tempéré». Actuellement, au plus fort de la journée, le soleil très ardent, grille une partie des feuilles des plantes pourtant bien irriguées. Seul le paillage permet de lutter efficacement contre cette sécheresse. Si les merles, aussi en grand nombre, ne viennent pas éparpiller cette couche végétale, afin d'y dénicher de petits vermiceaux. Les petits plants de salade que j'avais repiqué, avant la dernière canicule, sont pratiquement tous disparus, malgré un arrosage quotidien. De plus par manque de verdure fraiche et de point d'eau, les oiseaux, en très grand nombre, viennent terminer le peu de plants qui ont survécus à la canicule.
    Me voici, donc, délivré de la corvée d'arrosage, pour un temps.

    Â demain   

         

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         Journal Ordinaire D'Un Jardinier Ordinaire

           

    Bonjour 


    De l'orage toute la nuit; des pluies assez faibles. Hier 29°C; la terre commence à avoir besoin d'eau. Première récolte consistante de tomates. Mais les pieds de cette variété ont le feuillage jauni. Hier, arrachage des pommes de terre; environ une quinzaine de kilos sur 20 plants; pas d'engrais. Cette culture aurait mérité un peu plus d'eau au mois de juin. C'est une variété rouge et précoce : «Jeannette». Coté courgettes, c'est le plein succès; plus d'une dizaine d'exemplaires stockées en cave attendent leur passage en cuisine. En plus de ma variété traditionnelle de courgette, j'ai semé quelques graines de la variété «San Pasquale» que Baumaux m'a envoyé en cadeau. Une variété très prolifique; plus de 30 fruits par pieds, selon Baumaux. Les courgettes de Nice ont déjà donné 5 exemplaires. Les cultures de courges sont très en avance cette année. Les courges spaghettis sont déjà passées par la cuisine. Des pâtissons sont déjà arrivés à la bonne taille. Des potimarrons bien gros sont en train de passer du jaune au rouge. Les concombres se font un peu désirer; ils sont pourtant régulièrement irrigués. Le reste des légumes souffre de la sécheresse et de la trop forte chaleur; ce qui n'est pas tout à fait la même chose; les rayons du soleil, trop ardents, grillent les feuilles des salades. C'est pour cela que laitues, radis, navets et carottes sont cultivés en exposition ombragée. On a encore quelques laitues à consommer. Seuls les radis ne supportent vraiment pas ces canicules à répétition. Des poivrons ont déjà fourni quelques exemplaires dans les châssis. Poivrons et aubergines sont des cultures assez difficiles à conduire dans notre région. Cette année, le climat leur convient parfaitement.
    Â demain

       

         

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    Bonjour 

    Le problème de la haie auprès du public, se pose toujours au moment de  son entretien. Très souvent, dans ces petites propriétés, la haie ou le mur sont mitoyens. Donc, ce qui veut dire que  l'entretien doit se faire également de chaque coté de la haie. Une haie qui ne doit pas dépasser 2 mètres. Une haie que l'on s'efforce de maintenir à 50cm en largeur. Autrefois, les petits jardins de ville se résumaient à un long boyau, de la même largeur que la façade de la maison qui donnait sur la rue. Bien souvent ces petites parcelles étaient closes par un mur d'au moins 2 mètres de haut. Mais à partir des années 50, la mode des haies s'est imposée un peu partout. Pourquoi? On ne sait pas exactement; besoin de nature, peut-être? Ou développement promotionnel des professionnels du jardinage. Dans les années 50/60, le concept des jardineries tel que nous le connaissons, aujourd'hui, ne s'était pas encore imposé. Dans les villes on ne trouvait que des marchands grainetiers, dont les échoppes étaient parfumées de toutes ces odeurs si caractéristiques. Ces commerçants ne proposaient que des graines ou des bulbes et divers matériels de jardinages; plants en conteneurs ou en godets n'existaient pas encore dans ces magasins; où ces professionnels auraient-ils pu entreposer ces milliers de plants en godets? Il faudra attendre la décennie suivante, pour voir les premières grandes jardineries, venir s'implanter à coté des nouvelles grandes surfaces; ces temples de la consommation.  Dans les années 50 pour acquérir les plants destinés à la réalisation des haies ou à la création d'un verger, il fallait passer une commande par correspondance, auprès de pépiniéristes réputés; ils n'étaient pas nombreux, sur le marché, dans ces années là. La commande expédiée, était le plus souvent à prendre dans la gare la plus proche. Tout cela était long, fastidieux et couteux, et ne favorisait pas le développement de ce négoce. Avant de clore son terrain, on réfléchissait aux diverses possibilités offertes par les professionnels. Soit on faisait réaliser un mur, mais en cas de grande parcelle, cela se révélait très ruineux pour les nouveaux accédants à la propriété. Soit, alors, on passait commande de plants, souvent à racines nues, auprès des pépiniéristes, cités plus haut. Soit, en désespoir de cause, on plantait des pieux en fer, sur  lesquels on fixait un grillage, encore galvanisé, à l'époque. C'est à partir des années 70, que les plants d'arbustes en container, ont largement diffusé, par leur cout modique, et par leur simplicité de plantation, la mode de la haie auprès du public. Planter des végétaux à racines nues présente toujours quelques risques. Il faut souvent combler les vides à la saison suivante. 
    Â suivre.. 
    Bon dimanche  

         

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    Bonjour 


    33°C hier, à l'ombre; donc, on travaille  à l'ombre. C'est l'époque normale où l'on commence à tailler les haies, mais depuis plusieurs années, il faut commencer début mai. Cette année c'est donc la deuxième tonte. Du travail en plus. Comme j'ai de nombreux buis disséminés à travers tout le jardin, cela demande beaucoup plus de temps que la taille des haies. Autrefois, une seule taille par an suffisait; cette année ce sera vraisemblablement trois interventions. Au début les buis étaient tout petits; tous issus du même pied. Mais ils ont grandi et l'ampleur de la tache aussi. Mais quand on aime.... Comme ils sont taillés dans des formes naturelles pour la plupart, la taille s'en trouve grandement facilitée. J'ai aussi des troènes dorés, des loniceras nitida et des charmes. Au fil des années j'ai éliminé les haies de thuyas. Deux haies de plus de trente mètres de long qui ont été remplacées, pour l'une par une haie dite «champêtre», pour l'autre par une palissade en bois; plus facile à tondre. J'ai gardé symboliquement un seul pied de thuya. Quand nous sommes arrivés dans cette nouvelle maison, les clotures se résumaient à des barrages en fil de fer et à des haies de troènes très mal entretenues. La haie mitoyenne faisait 4 mètres de large. On l'a ramenée à 50 cm de large; le troène supporte très bien cette chirurgie, pas le thuya, car il dépérit par son centre. Une autre haie de troène, placée au centre du terrain, faisait 3 mètres de haut, 1 mètre de large sur 20 mètres de long. Pour créer la nouvelle haie de 50 mètres qui nous sépare du chemin de plaine, j'ai arraché, à la barre à mine, cette haie de troènes et je l'ai transférée dans la nouvelle haie. Cela représentait au moins un poids de près de 100 kilos par pied. Entre ces différents pieds, j'y ai établi des plants de houx et de noisetiers, dont j'avais préalablement, quelques années auparavant, fait des boutures. J’y ai aussi adjoint des plants de charmes et de hêtres que j'avais subtilisés dans les bois environnants. J’avais aussi commandé en jardinerie des noisetiers pourpres pour donner de la couleur à cette haie. Dans le même esprit, j'y incorporais des ribes de couleur rose, des troènes dorés de couleur jaune et des forsythias de la même couleur; tous issus de mes boutures. Â l'époque j'étais un précurseur, car tout le monde plantait du thuya; le troène étant considéré, par chacun, comme «ringard». Nos anciens, qui ne disposaient que de ciseaux à tondre, ne s'amusaient pas à planter des thuyas en guise de haie, dans leur jardin d'ornement. Ils retenaient toujours pour cet usage, le troène taillé au cordeau sur une faible hauteur. Comme cela se passait principalement à la campagne, dans des exploitations agricoles, ils connaissaient la difficulté à entretenir ces haies dites «défensives»; défensives au bétail, et non, comme aujourd'hui, au regard des voisins. Ces haies étaient très souvent composées d'épines et de houx et aussi de toutes sortes d'essences un peu disparates; car beaucoup d'entre elles, avaient plus d'un siècle; la taille des têtards qui en composaient la base, témoignait du grand âge de ces haies, qui pouvaient faire une dizaine de mètres de haut.

    Â demain pour continuer à décrire ce que fut le travail d'entretien de ces haies.

     

         

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    Bonjour 

    L'art topiaire qui avait un peu disparu dans les années 60/70 est revenu en force à partir des années 80. Les buis taillés en diverses formes ne s'autorisaient plus que les grands jardins nationaux. La mode étant alors à la découverte du jardin de style «Anglais» et à la plantation massive de haies principalement constituées de thuyas. Dans les années 70 la promotion du thuya se faisait tapageuse et à grand renfort de papier dans les boites aux lettres. Un nouveau sport commercial que dénonçaient déjà les premiers écologistes. Couper des arbres pour faire la publicité d'un grand végétal, extradé des Amériques, cela peut paraitre cocasse; mais c'est en définitive, fort triste. C'est que, ce nouveau «béton vert» qui faisait pousser des cris de douleur aux «écolos» a remis en selle la pratique de l'art topiaire auprès des particuliers. De plus, la gestion des nouvelles haies de thuyas, s'est vite transformée en corvée. La coupe de ce type de haie avec un taille-haie électrique est extrêmement pénible, car la puissance de ce type d'engin est très limitée. Tailler une haie de thuyas avec des ciseaux à tondre, dépasse, alors, l'entendement; je vous raconte pas! Si la pratique du jardinage doit s'apparenter à une occupation de bagnard, autant retourner dans son HLM; la tonte de la moquette y étant beaucoup moins laborieuse. Heureusement le développement du taille-haie thermique a fait baisser le cout de ce type de matériel. Beaucoup de jardiniers amateurs ont pu s'équiper de ce nouvel outil. Il suffit pour cela d'entendre le vacarme engendré par cette machine pour pouvoir estimer l'étendue de la dotation dans notre voisinage, de ce digne représentant de la motoculture de plaisance. Ceux qui n'ont pu accéder à l'achat de ce matériel, toujours assez couteux, ont fini soit, par arracher leur haie, soit à s'atteler à la fin de l'été, à la plus dure corvée à entreprendre dans nos chers petits jardins. Un autre facteur est intervenu et s'est fait l'allier des écologistes: c'est le bupreste. Une famille de coléoptères qui ravagent les thuyas et aussi d'autres espèces d'arbres. On peut observer, dorénavant, dans de nombreuses haies de thuyas, plusieurs exemplaires qui vont conserver pour toujours un feuillage roux à cet arbuste, qui finit par tomber en poussière. Un feuillage roux qui peut s'apparenter au feuillage d'hiver d'un thuya de type «occidentalis», beaucoup moins répandu que le type «Atrovirens», que tout le monde connait. 

    Â demain pour la suite de cette transformation dans nos petits jardins.  

         

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