Le 14 juillet, la plantation s'est considérablement étoffée, malgré la sécheresse.

Les panneaux grillagés vont accueillir les tomates, déjà présentes au pieds de ceux-ci.

Ces plants souffrent de la sècheresse.

En arrière-plan dans les serres, les plants de tomates sont à leur avantage; malgré la canicule.

 Avant-hier la plantation est au top, grâce aux pluies récentes et bienvenues.

Les températures ont baissé.

Le jardin reprend son souffle.

 Poivrons 2014


Très bonne production.

Par rapport aux autres années

Avec le même nombre de plant.

De la couleur et de la variété.Et il y en a encore à récolter dans les châssis.

S'il n'y a pas de fortes gelées d'ici décembre, il en restra quelques-uns vers la mi-décembre

 

 Encore des piments et des poivrons en Châssis
Il en reste encore beaucoup, déjà assez gros , mais encore verts

 Les concombres en 2014 


 Des cageots et des cageots de concombres.

On n'a pas pesé, mais on aurait du le faire.

Il y en a dans tous les recoins de la cave.

Une véritable surproduction cette année.

Pourtant une seule route semée ( l'année dernière : 2).

On a arraché les plants et plein de gros concombres ont servi de nourriture aux poules.

Plusieurs dizaines de kilo.

Le jardinage, c'est comme l'agriculture: Cela ne se décrète pas

 Endive En fleur


Une racine oubliée l'hiver dernier

Une tige d'au moins 1m80 et des petites fleurs bleues.

Les légumes sont aussi capables de nous offrir des bouquets.

  

 

 Récolte des pommes de terre aujourd'hui

Arrachage prématurée : Attaque de mildiou sur quelques pieds.

Amandine - Précoce100 pieds

Surface cultivée : 15m²

76 kgs aujourd'hui

8 kgs prélevés depuis 3 semaines

Total 84kgs ==> 100 pieds.

2 traitements à la bouillie bordelaise

Compost +  1 engrais bio spécial  pomme de terre

 Le panais Un légume à redécouvrir

Récolte des panais en fin d'hiver.

C'est la dernière récolte de mes panais pour cette année.

Une grosse carotte blanche au gout spécial.

Qui passe l'hiver sans difficultéA mettre dans tous les bons pot-au-feu.

Indispensable.Mais en quantité limitée.Tant le gout est fort et envoutant.

Qui peut très vite devenir écœurant

Comme le Topinambour.

 La deuxième guerre de l'échalote

jeudi 07 juillet 2011
Thomas Kerrien, jeune producteur d'échalotes traditionnelles à Taulé, dans le Finistère.

Les Bretons accusent les Hollandais de vendre des pseudo-échalotes qui leur coûtent moins cher à produire.Un premier conflit perdu en 2007. Les producteurs bretons et leurs alliés angevins ont déjà perdu une première guerre contre les Hollandais. Deux modes de cultures s'opposent. En France, les échalotes issues de bulbes se plantent et se récoltent à la main. De leur côté, les firmes semencières hollandaises ont inventé des variétés qui se sèment et se récoltent via des machines, avec des coûts de production moins élevés. « Nous avons porté l'affaire devant la Cour européenne de justice et perdu notre procès en 2007, rappelle Pierre Bihan-Poudec, président de l'association des producteurs d'échalotes traditionnelles. Les Hollandais ont eu le droit de vendre sous l'appellation échalote de semis. »
Fausses échalotes mais vrais oignons. Une sorte de paix armée régnait depuis 2007 mais les Bretons et les Angevins ont décidé de rouvrir les hostilités. « Des tests réalisés sur trois nouvelles variétés hollandaises laissent clairement apparaître qu'il ne s'agit pas d'échalotes mais d'oignons, indique Pierre Bihan-Poudec. C'est une contrefaçon. Nous allons nous porter partie civile et nous retourner vers Bruxelles. »
500 producteurs menacés. Les enjeux de ce nouveau conflit franco-hollandais sont importants. En effet, les Bataves peuvent inonder le marché avec leurs pseudo-échalotes, dont le coût de revient est inférieur de 30 %. « J'ai besoin d'une quinzaine de personnes en janvier et en février pour les plantations et autant pendant la récolte en juillet », rappelle Thomas Kerrien, jeune producteur à Taulé (Finistère). Chaque année, 30 000 tonnes d'échalotes traditionnelles sont récoltées en Bretagne par de nombreux saisonniers.
Jean-Paul LOUÉDOC